La mini-série télévisée Paramount+ jointuresun spin-off du Sonic l’hérisson série de films, vise à combler le fossé entre Sonic le hérisson 2 et Sonic le hérisson 3 avec un accent narratif unique sur l’échidné titulaire. Avec Idris Elba dans le rôle de Knuckles et Adam Pally dans le rôle de Wade Whipple, la série passe à la vitesse supérieure des aventures globe-trotters à indice d’octane élevé de Sonic pour explorer des thèmes plus personnels du mentorat, de la rédemption et des liens familiaux. Alors que jointures présente des éléments prometteurs, il a finalement du mal à trouver sa place, aboutissant à un produit final aussi incohérent que parfois délicieux.

La prémisse de jointures propose initialement une expansion intrigante de l’histoire de la franchise. Placé entre les événements du deuxième et du troisième à venir Sonique films, il propose un récit axé sur les personnages et axé sur les tentatives de Knuckles de s’adapter à la vie sur Terre. Ce scénario est renforcé par l’engagement de Knuckles à encadrer le shérif adjoint Wade Whipple, joué avec un charme affable par Adam Pally. La mini-série tente de superposer son squelette d’action-aventure avec de la chair émotionnelle en incorporant les thèmes de la découverte de soi, de la réconciliation familiale et de la maîtrise de son potentiel. Malheureusement, ces nobles ambitions sont souvent contrecarrées par un récit décousu et des incohérences tonales qui tourmentent la série tout au long de sa diffusion.

Le bon:

L’une des forces de la série réside dans le travail des personnages, notamment avec les protagonistes. Idris Elba reprend son rôle de Knuckles, conférant au personnage la même gravité et la même intensité qui ont fait de son interprétation un personnage remarquable dans Sonic le hérisson 2. Son mentorat auprès de Wade introduit une dynamique qui permet des moments d’humour et de cœur. Wade Whipple d’Adam Pally offre un équilibre louable entre soulagement comique et sincérité émotionnelle, même si le personnage vire parfois trop à la caricature. L’interaction entre Knuckles et Wade est, sans aucun doute, le battement de cœur de la série, faisant ressortir les thèmes de la croissance et de l’importance de tracer son chemin.

Le mauvais:

Cependant, la série échoue souvent dans son récit et son rythme plus larges. Le scénario, bien que novateur dans la mesure où il se concentre sur des aspects moins visibles du Sonique l’univers, serpente à travers des intrigues secondaires qui semblent au mieux connectées tangentiellement. L’intrigue centrale – un entraînement pour un tournoi de bowling à Reno, dans le Nevada, tout en étant poursuivi par un ancien agent vengeur du Dr Robotnik – oscille entre l’absurdité engageante et l’absurdité déroutante. La juxtaposition d’une activité humaine aussi banale avec les enjeux élevés d’un conflit interdimensionnel crée une dissonance tonale que la série ne réconcilie jamais complètement.

De plus, l’intégration de la série dans l’univers plus large de Sonic semble inégale. S’il sert de pont entre le deuxième et le troisième films, jointures semble parfois à la dérive du scénario principal, avec des références à des personnages et des événements établis qui semblent intégrés plutôt que organiquement tissés dans le récit. Cette incohérence s’étend aux séquences d’action et aux effets visuels de la série, qui, bien que exécutés avec compétence, n’ont pas l’énergie cinétique et la cohérence de leurs homologues cinématographiques.

Les explorations thématiques de la série, notamment concernant la famille et la rédemption, sont louables mais exécutées de manière incohérente. Les retrouvailles de Wade avec les membres de sa famille séparés et la confrontation de Knuckles avec son propre héritage et ses responsabilités offrent des moments forts en émotion. Pourtant, ces moments semblent souvent sous-développés, avec des résolutions trop pratiques ou insuffisamment mises en place.

Dans l’ensemble:

jointures propose quelques innovations, notamment dans son expansion du mythe de la série. L’introduction de nouveaux lieux, personnages et traditions liés aux échidnés enrichit l’univers de manière convaincante. Cependant, ces éléments sont parfois en contradiction avec les aspirations plus fondées et axées sur les personnages de la série, ce qui donne lieu à un récit qui semble pris entre deux mondes.

jointures‘ ambition d’approfondir la tradition du Sonique l’univers tout en proposant une étude ciblée du caractère de son échidné titulaire est louable. Idris Elba et Adam Pally livrent des performances qui mettent en valeur la complexité et le charme de leurs personnages. Néanmoins, la série se débat avec le rythme, la cohérence narrative et les incohérences tonales, ne parvenant pas à tirer pleinement parti de son principe unique. Alors que jointures offre des moments de véritable divertissement et de perspicacité, il ne parvient finalement pas à atteindre son potentiel, ce qui en fait une entrée intermédiaire dans le secteur en expansion. Sonic l’hérisson la franchise.

Knuckles Review : une entrée médiocre dans la franchise Sonic

  • Agissant – 6/10
  • Cinématographie/Effets visuels – 5,5/10
  • Intrigue/Scénario – 4/10
  • Cadre/Thème – 4/10
  • Observabilité – 5,5/10
  • Re-regardabilité – 2,5/10