Attention, amis mutants et curieux ! Nous avons des nouvelles intrigantes plus chaudes qu’une crise de colère de Phoenix Force. Préparez-vous, car le cerveau derrière la série animée de Disney+ « X-Men ’97 », Beau DeMayo, a été licencié. Oui, vous avez bien entendu : la sortie de DeMayo est plus mystérieuse que la véritable forme de Mystique. Mais pourquoi? Était-ce une querelle de mutants ? Un alignement cosmique ? Ou a-t-il accidentellement renversé du café sur le Cerebro du professeur X ? Plongeons dans ce drame comme Nightcrawler dans une frénésie de téléportation.
Il venait de terminer les saisons 1 et 2 de « X-Men ’97 », en félicitant Cyclope et en partageant des poignées de main secrètes avec des mutants. Mais ensuite *pouf !* il a disparu comme un Shadowcat furtif. Pas de première hollywoodienne pour lui. Son Instagram ? Supprimé. C’est comme s’il était entré dans un portail temporel (ou peut-être s’il avait simplement pris des vacances au Pays Sauvage).
Pourquoi cette sortie soudaine ? A-t-il accidentellement rendu la fourrure de Beast rose lors d’une réunion de scénario ? Ou peut-être a-t-il essayé de remplacer les griffes de Wolverine par des tranches de baguette (car chaque mutant a besoin d’une collation). La vérité est entourée de plus de mystère que la saga Phoenix de Jean Grey. Certains disent qu’il a défié Gambit à un concours de lancer de cartes. D’autres affirment qu’il a accidentellement invoqué Mojo depuis une autre dimension. Quoi qu’il en soit, c’est une énigme de la taille d’un mutant.
Au-delà de « X-Men ’97 », DeMayo a tissé des sorts à travers l’univers Marvel. Vous vous souvenez de « Moon Knight » ? Oui, c’est son œuvre, avec Oscar Isaac dans le rôle du meilleur ami maussade de la lune. Et accrochez-vous à vos boucliers en vibranium : le scénario « Blade » de DeMayo, avec Mahershala Ali dans le rôle du daywalker tueur de vampires. Mais attendez, il y a plus ! Il a plongé sa plume dans « Star Trek : Strange New Worlds », « The Witcher » de Netflix (Henry Cavill en armure de cuir : hubba hubba) et même des courts métrages d’animation « League of Legends ». Le gars est plus occupé que Deadpool à un buffet de chimichanga.
Parlons maintenant de “X-Men ’97”. Les mutants OG sont de retour, les amis ! Le professeur Charles Xavier serait en train de pousser des pâquerettes. Mais devinez qui a son dernier testament ? Magneto, le maître de la manipulation du métal. Quoi de neuf? Une recette d’enchiladas mutantes ? Une playlist intitulée « Telepathic Grooves » ? Non, c’est probablement juste une note : “Cher Magneto, arrose mon bonsaï et garde ton casque hors de mon réfrigérateur.”
Qui s’habille pour ce voyage nostalgique ? Wolverine aiguise ses griffes, Cyclope recalibre ses explosions optiques et Jean Grey pratique sa télékinésie (pas de vase cassé cette fois). Storm vérifie les prévisions météorologiques (spoiler : orages) et Jubilee perfectionne son feu d’artifice. Beast lit Shakespeare dans la Danger Room, Gambit distribue les cartes comme un croupier mutant, et Morph… eh bien, Morph est juste Morph. Bishop fléchit ses biceps, et le professeur X ? Soit il sirote du thé cosmique, soit il joue aux échecs avec la Mort elle-même.
Ainsi, que la sortie de DeMayo soit un contretemps cosmique ou une conspiration mutante, « X-Men ’97 » promet plus de drame que la collection de casques de Magneto. Connectez-vous, prenez vos collations mutantes et rappelez-vous : quand la vie vous donne de l’adamantium, préparez des crêpes métaphoriques. Et quand la vie vire votre showrunner, blâmez-le simplement sur Mojo. Il a l’habitude de prendre la responsabilité.
Restez mutant, restez merveilleux et que vos pouvoirs mutants ne soient jamais interrompus lors d’une bataille cruciale. Excelsior!