James Watkins Ne dites rien de malun remake du film danois du même nom sorti en 2022, propose une exploration effrayante du comportement humain soumis à une contrainte psychologique extrême. Avec un casting exceptionnel dirigé par James McAvoy, Mackenzie Davis et Aisling Franciosi, le film navigue dans les eaux troubles de la confiance, de la manipulation et des entrailles sombres d’interactions sociales apparemment parfaites. Ne dites rien de mal tourne autour de Paddy (James McAvoy) et Louise Dalton (Mackenzie Davis), un couple qui cherche à échapper à la monotonie de sa vie en passant des vacances dans une maison de campagne pittoresque. Ils sont rejoints par Ciara (Aisling Franciosi), une femme dont la présence énigmatique donne immédiatement le ton aux événements troublants qui vont suivre. L’escapade paisible du trio se détériore rapidement à mesure que leurs interactions avec les habitants et entre eux prennent des nuances de plus en plus inquiétantes. La prémisse du film – des vacances de rêve devenues un cauchemar psychologique – est enracinée dans la peur universelle de l’inconnu, d’être piégé dans une situation où le familier devient étranger et menaçant. Watkins exploite efficacement ces angoisses, créant un récit qui maintient le public en haleine, se demandant quand la prochaine chaussure tombera. Représentations : Paddy (James McAvoy) dans Speak No Evil, réalisé par James Watkins. James McAvoy offre une performance nuancée dans le rôle de Paddy, un homme dont l’extérieur affable cache un profond puits d’insécurité. McAvoy excelle à décrire la lente perte de sang-froid de Paddy, alors que son personnage est entraîné dans un jeu psychologique pour lequel il est mal équipé. Mackenzie Davis est tout aussi convaincante que Louise, dont l’optimisme et l’enthousiasme initiaux pour le voyage cèdent progressivement la place à un sentiment palpable d’effroi. Davis apporte une vulnérabilité à son rôle qui rend la descente de Louise dans la peur d’autant plus touchante. Le portrait de Ciara par Aisling Franciosi est peut-être le plus intrigant. Son personnage est un catalyseur d’une grande partie de la tension du film, et Franciosi trouve un équilibre parfait entre charme et menace. Les motivations de Ciara restent délibérément ambiguës, ajoutant au sentiment général de malaise du film. Les acteurs secondaires, dont Scoot McNairy et Dan Hough, offrent des performances solides qui complètent les protagonistes, même si leurs personnages sont quelque peu sous-développés. Direction et rythme : La mise en scène de Watkins brille dans la façon dont il construit et maintient la tension tout au long du film. Le cadre idyllique de la maison de campagne, avec ses paysages luxuriants et son atmosphère sereine, contraste fortement avec la tourmente psychologique vécue par les personnages. Cette juxtaposition est magistralement gérée, car la beauté des environs ne fait qu’accentuer le sentiment d’effroi qui imprègne le film. Le rythme de Ne dites rien de mal est délibérément lent, permettant à la tension de mijoter juste sous la surface avant de déborder dans les moments clés. Watkins utilise le silence et une conception sonore subtile à bon escient, créant une atmosphère où même le plus petit bruit ou geste prend une signification inquiétante. Cette approche n’est pas sans rappeler d’autres thrillers psychologiques, mais Watkins parvient à la garder fraîche en se concentrant sur la dynamique interpersonnelle entre les personnages. Défauts: Malgré ses atouts, Ne dites rien de mal vacille dans son acte final, où la tension qui a été si soigneusement construite commence à se dénouer. Le point culminant du film, bien qu’intense, semble précipité et quelque peu artificiel, comme si l’histoire était forcée de s’insérer dans un moule spécifique plutôt que de lui permettre de se dérouler de manière organique. L’ambiguïté qui a si bien fonctionné plus tôt dans le film devient frustrante à mesure que le récit commence à serpenter, laissant des questions clés sans réponse et certains points de l’intrigue semblant non résolus. De plus, le recours du film à certains tropes du genre, tels que la fin « twistée », semble prévisible et nuit à l’impact global. Bien que la fin suscite certainement un débat parmi les téléspectateurs, elle manque finalement du punch émotionnel et psychologique promis par les actes précédents. Une partition et un travail de caméra impressionnants : La cinématographie du film est un autre point fort. Le travail de la caméra est intimiste, se concentrant souvent sur des gros plans des visages des personnages, soulignant leurs états émotionnels. Cela crée un sentiment de claustrophobe qui reflète le piégeage psychologique des personnages. L’utilisation de la lumière naturelle et des ombres renforce encore l’atmosphère étrange, en particulier dans les scènes se déroulant au crépuscule ou la nuit. La musique, composée par Danny Bensi et Saunder Jurriaans, est épurée mais efficace, s’appuyant sur des motifs minimalistes qui soulignent l’ambiance troublante du film. La musique ne submerge jamais l’action à l’écran, mais sert plutôt à accroître la tension à des moments clés. La musique de Kurzel est complétée par la conception sonore du film, à la fois sobre et percutante. Le bruit des sols qui craquent, des murmures lointains et d’autres bruits ambiants contribuent au sentiment de malaise sans recourir à des frayeurs ou à des techniques d’horreur manifestes. Thèmes : De gauche à droite : Ant (Dan Hough) et Agnes Dalton (Alix West Lefler) dans Speak No Evil, réalisé par James Watkins. À la base, Ne dites rien de mal est un film sur la dynamique du pouvoir, à la fois dans les relations interpersonnelles et dans un contexte social plus large. Le film explore la facilité avec laquelle la confiance peut être manipulée et la rapidité avec laquelle la civilité peut s’éroder sous la pression. Les interactions de Paddy et Louise avec Ciara et les autres personnages qu’ils rencontrent sont marquées par une poussée constante pour le contrôle, chaque partie tentant d’affirmer sa domination de manière subtile, souvent tacite. Ces thèmes trouvent une résonance particulière dans le climat social actuel, où les frontières entre les personnalités publiques et privées sont de plus en plus floues. Watkins utilise le décor de la maison de campagne comme un microcosme
“Lanterns” de HBO – Green Lantern peut-il enfin réussir ?
Vous savez ce qu’on dit : la troisième fois est la bonne ! Josh Brolin passe sur Green Lantern. Après le tristement célèbre 2011 Lanterne verte désastre cinématographique (je veux dire, même Ryan Reynolds veut l’oublier), le nouveau Lanternes La série vise à rendre enfin justice à Hal Jordan, John Stewart et au Green Lantern Corps. Et cette fois, ils essaient de mélanger cette action de super-héros avec l’ambiance criminelle de Vrai détective. Pouvons-nous avoir une salve d’applaudissements pour cela ? Mais la vraie question est : est-ce que ça marchera ? Josh Brolin rebondit – Qu’aurait-il pu être Éliminons la plus grande nouvelle : Josh Brolin ne jouera pas le rôle de Hal Jordan. Ouais, Internet était bourdonnant quand la rumeur courait que Brolin pourrait mettre cette bague brillante, mais le Vengeurs la star a décidé de passer. Cependant, je ne peux pas blâmer le gars : après l’avoir tué en tant que Thanos et Cable, il a peut-être fini de sauver ou de détruire le monde pendant une minute. Lanternes avait les yeux rivés sur Brolin pour jouer un Hal Jordan plus âgé et chevronné, encadrant à contrecœur un jeune John Stewart. L’idée que Brolin encadre la prochaine génération de Lanterns aurait été un coup de circuit pour les fans de DC. Son style bourru et pragmatique aurait été à la hauteur de celui Vrai détective l’ambiance qu’ils recherchent dans la série. Mais maintenant que Brolin a décliné l’offre, les producteurs sont de retour à la case départ. Des rumeurs circulaient selon lesquelles d’autres stars se mettraient à la place de Jordan, mais une chose est sûre : Matthew McConaughey ne reprendra pas non plus la bague. Désolé! L’ambiance graveleuse et noire de Lanternes Parlons maintenant de la série elle-même. Lanternes s’annonce comme une version plus sombre et plus ancrée du Lanterne verte saga. Imaginez Hal Jordan et John Stewart dans un copain-flic, détective noir aux enjeux intergalactiques. Selon les initiés, ce sera comme Vrai détective rencontre l’univers DC, ce qui est définitivement un nouvel angle pour une série de super-héros. Au lieu de voler dans l’espace en combattant des extraterrestres CGI (même si nous en aurons probablement encore une partie), la série se concentrera sur une enquête sur un meurtre qui pourrait avoir des implications énormes pour l’univers. Hal Jordan, le vétéran blasé, sera le mentor de John Stewart, un jeune Lantern au visage frais, et leur relation sera au cœur de la série. Le contraste entre les deux personnages devrait fournir beaucoup d’étincelles, surtout s’ils adoptent ce ton dramatique et granuleux. Avec OzarkChris Mundy en tant que showrunner et génie créatif de Damon Lindelof (Perdu, Gardiens) en coulisses, les attentes sont énormes pour Lanternes. Ce sont des écrivains qui savent créer de la tension, de la profondeur et des histoires axées sur les personnages. S’ils apportent la même magie au Green Lantern Corps, nous pourrions enfin avoir le Lanterne verte l’adaptation que nous méritons. Choix de casting – Quelle est la prochaine étape ? Maintenant que Josh Brolin est décédé, nous revenons à la planche à dessin pour le casting de Hal Jordan. DC optera-t-il pour un autre grand nom ou tentera-t-il sa chance avec une étoile montante ? Il est clair qu’ils recherchent quelqu’un de sérieux, quelqu’un qui peut nous faire oublier le Lanterne verte de 2011. Ce n’est pas une tâche facile, mais c’est excitant de voir sur qui ils feront appel ensuite. D’un autre côté, le casting de John Stewart est tout aussi important. John est l’un des super-héros noirs les plus appréciés de DC, et son inclusion dans la série est un gros problème. Les fans attendent de le voir en live-action depuis des années et ils méritent un portrait qui lui rende justice. Le bon acteur pourrait aider à lancer John dans la stratosphère de la culture pop, aux côtés de héros comme Black Panther et Luke Cage. Si HBO peut y parvenir, Lanternes pourrait être le spectacle qui rendra enfin Green Lantern cool. Et après ce qui s’est passé en 2011, c’est une piste qui mérite d’être poursuivie. (Source : THR)
Nous avons enfin des mises à jour de Spider-Man Noir !
Chat télévisé 10 juillet 2024 6 minutes de lecture Fans de Spider-Man Noir, levez-vous ! Le personnage bien-aimé du Spider-Verse revient en action avec une nouvelle série télévisée en direct. Amazon et MGM+ se sont associés pour proposer cette version sombre et réaliste de Spider-Man sur le petit écran, et ils ont réuni une équipe impressionnante pour y parvenir. Voici la dernière « mise à jour de Spider-Man Noir » que vous devez connaître, avec Nicolas Cage et Brendan Gleeson. Vous vous souvenez de ce superbe camée de Spider-Man Noir à la fin de « Spider-Man : Across the Spider-Verse » ? Eh bien, préparez-vous pour une véritable aventure noire se déroulant dans les rues méchantes de la ville de New York des années 1930. Cage, reprenant son rôle de voix du film d’animation, incarnera un détective privé plus âgé, fatigué du monde et au passé caché. Nicolas Cage révèle les détails de la série Nicolas Cage, la voix derrière Spider-Man Noir dans “Spider-Man: Into the Spider-Verse”, a récemment dévoilé ce que nous pouvons attendre de la prochaine série. Dans une interview, Cage a révélé que la série comprendrait huit épisodes, chacun d’une durée d’environ 45 minutes. Il l’a décrit comme « l’équivalent de quatre films en cinq mois », soulignant l’ampleur et l’intensité du projet. Les fans du personnage sont sans aucun doute ravis à l’idée de voir davantage ce super-héros grisonnant des années 1930. Voici le point sur ce que nous savons jusqu’à présent : Huit épisodes de Noir Goodness : marquez vos calendriers – “Spider-Man Noir” est une mini-série de huit épisodes, ce qui signifie que vous obtenez de nombreuses actions de lutte contre le crime dans un laps de temps serré. Cage Goes Full Noir : Cage a toujours exprimé son amour pour le personnage de Spider-Man Noir, et on dirait qu’il y va à fond. Attendez-vous à ce qu’il canalise les légendes classiques d’Hollywood comme Humphrey Bogart et James Cagney pour une performance à parts égales. et charismatique. Brendan Gleeson rejoint le casting : L’acteur primé connu pour ses rôles dans des films comme « Les Banshees d’Inisherin » et « Harry Potter » rejoint le casting en tant que méchant. Le personnage exact qu’il incarnera est encore secret, mais avec une galerie de voyous comme Norman « Le Gobelin » Osborn et le Vautour tapi dans l’ombre, les possibilités sont infinies. Un nouveau héros (et un nouveau Peter Parker) : Ce n’est pas votre sympathique Spider-Man de quartier. Le personnage de Cage n’est pas Peter Parker. Au lieu de cela, c’est un enquêteur chevronné au passé sombre qui assume le rôle de Spider-Man Noir pour lutter contre le crime pendant la Grande Dépression. La série est dirigée par des talents sérieux, avec le réalisateur Harry Bradbeer (« Killing Eve »), lauréat d’un Emmy, à la barre et des producteurs exécutifs dont Phil Lord et Christopher Miller (les cerveaux derrière « Les Mitchell contre les Machines »). L’avenir s’annonce noir Avec un casting stellaire, une équipe de production talentueuse et une vision unique du mythe de Spider-Man, “Spider-Man Noir” s’annonce comme un incontournable pour tout fan de bande dessinée. La combinaison de l’amour de Cage pour le personnage et de la vision créative de l’équipe derrière le projet promet d’offrir un ajout unique et passionnant à l’univers Marvel. Les fans peuvent s’attendre à un mélange d’esthétique noire, d’action intense et d’exploration approfondie des personnages. Alors, prenez vos fedoras et vos trench-coats, car les choses sont sur le point de devenir sombres et web-tastiques dans le New York des années 1930 ! (Source : Comicbook.com)
Lewis Hamilton atteint enfin la plus haute marche avec une victoire au Grand Prix de Grande-Bretagne
Il est rentré à la maison. Bien sûr, l’Angleterre est toujours en vie dans l’Euro, après une victoire contre la Suisse aux tirs au but samedi qui a propulsé les Trois Lions en demi-finale où ils affronteront les Pays-Bas mercredi. Mais quelque chose d’autre est arrivé dimanche sur le sol anglais. Alors que Lewis Hamilton est finalement remonté sur la plus haute marche d’un podium de Formule 1, ce faisant lors du Grand Prix de Grande-Bretagne. La dernière fois que Hamilton a atteint la plus haute marche ? Cela s’est produit lors du Grand Prix d’Arabie Saoudite le 5 décembre 2021. Beaucoup de choses ont changé depuis, à commencer par le fait qu’une semaine plus tard, Max Verstappen a battu Hamilton jusqu’au drapeau à damier au Grand Prix d’Abu Dhabi – de manière controversée, beaucoup le feront. ne tardez pas à le souligner – pour remporter son premier championnat des pilotes de F1. Mais cette victoire tardait à venir pour Hamilton. Mais c’est finalement arrivé. Alors que les équipes luttaient contre des conditions météorologiques difficiles, notamment deux rafales de pluie différentes à Silverstone, la seconde durant plus longtemps et créant des conditions plus glissantes sur la piste, Hamilton et Mercedes ont pris une série de décisions stratégiques impressionnantes. La seconde a eu lieu lorsque l’équipe a pris la décision de s’arrêter un tour plus tôt que le leader de la course Lando Norris, en chaussant un train de pneus tendres pour durer le septuple champion jusqu’au drapeau à damier. Norris est arrivé pour sa propre série de softs dans le tour suivant, mais a été laissé impuissant alors que Hamilton le frappait alors qu’il sortait lourdement du stand McLaren. Cela a donné lieu à une arrivée fascinante, avec Hamilton devant Norris et le toujours dangereux Max Verstappen à l’affût derrière le duo britannique à la troisième place. Pendant un moment, il a semblé que ce serait Verstappen qui remporterait la victoire, alors que Red Bull prenait la décision de monter un jeu de pneus durs et ceux-ci semblaient mieux fonctionner pour Verstappen que les tendres pour Hamilton, et Norris. Au 48e tour, Verstappen est blessé par Norris, avançant à la deuxième place avec juste Hamilton devant lui. Mais Hamilton avait trois secondes d’avance sur son rival, et à quelques tours de la fin, le pilote Mercedes avait l’avantage et une main sur le Royal Automobile Club Trophy. Pourrait-il retenir son rival, ou Verstappen refuserait-il à Hamilton sa 104e victoire en carrière ? Le rugissement de la foule à Silverstone a raconté l’histoire finale. Alors que le guitariste et astrophysicien de Queen, Brian May, brandissait le drapeau à damier, c’est Hamilton qui a franchi la ligne d’arrivée en premier. Verstappen a réussi à réduire l’avantage de Hamilton au cours des deux derniers tours, mais il n’a pas pu accéder à l’aileron arrière de la W15 de Hamilton. Une victoire en préparation depuis des années était enfin revenue au pays et sur le sol britannique. Lewis Hamilton avait remporté le Grand Prix de Grande-Bretagne 2024. Alors que Hamilton franchissait la ligne d’arrivée, on pouvait entendre l’émotion dans la voix du pilote lorsqu’il a reçu les félicitations de son équipe. On lui a remis l’Union Jack alors qu’il atteignait Becketts Corner lors de son tour de récupération, et il l’a brandi fièrement en ramenant sa W15 gagnante dans la voie des stands. Une image emblématique, un jour emblématique, dans ce qui devient une saison de F1 emblématique.
Tom Bombadil danse enfin sur les anneaux de la Power Stage
Préparez-vous à un peu de frivolité face au mal ! La deuxième saison de The Rings of Power donne vie à un personnage bien-aimé mais déroutant : Tom Bombadil. Cette énigme fantaisiste de la saga du Seigneur des Anneaux de JRR Tolkien sortira des livres et apparaîtra à l’écran pour la toute première fois. Bombadil est un habitant des bois connu pour ses chansons absurdes, ses vêtements clairs et son pouvoir mystérieux. Il aide Frodon et les hobbits dans les premiers chapitres de La Communauté de l’Anneau, mais son véritable objectif et ses origines restent entourés de mystère. Le film d’animation de Ralph Bakshi de 1978 et la trilogie live-action primée aux Oscars de Peter Jackson l’ont complètement laissé de côté. Prime prend le micro Mais attendez, fans de Bombadil ! The Rings of Power d’Amazon lui offre son moment au soleil. L’acteur Rory Kinnear (M dans les récents films de James Bond) incarnera le personnage lors de la première de la saison deux, le 29 août. La série se déroule des milliers d’années avant les événements du Seigneur des Anneaux, la présence de Bombadil s’inscrit donc parfaitement dans la chronologie établie. Tolkien lui-même a décrit Bombadil comme « plus vieux que l’ancien », un être qui existait pratiquement depuis la nuit des temps. Pourquoi maintenant? Pourquoi Bombadil ? Les showrunners, JD Payne et Patrick McKay, admettent que l’inclusion de Bombadil représentait un défi. Dans les livres, il évite de se laisser entraîner dans des conflits plus vastes. “(Ce n’est) pas un personnage qui a un programme particulièrement fort”, a déclaré Payne à Vanity Fair. Alors comment l’ont-ils intégré ? « Nous avons commencé à réfléchir : qu’est-ce qui l’intéresse ? Et comment cela peut-il être une porte vers le drame ? Payne continue. La réponse? Protéger le monde naturel. Dans la série, Bombadil aura une résidence secondaire en dehors d’une région appelée Rhûn, devenue un terrain vague. Cela correspond au scénario de la deuxième saison, qui met en scène les hobbits aux pieds nus Nori (Markella Kavenagh) et Poppy (Megan Richards) guidant le sorcier amnésique connu sous le nom d’Étranger (Daniel Weyman). Un Tom (légèrement) plus actif Attendez-vous à ce que Bombadil offre à l’Étranger une gentillesse bien méritée. “Il pousse l’Étranger tout au long de son voyage, dont il sait qu’il finira par protéger le monde naturel plus vaste qui lui tient à cœur”, explique Payne. Ainsi, cette version de Bombadil pourrait être un peu plus proactive que son homologue littéraire. Rory Kinnear donne vie à Bombadil, mais il admet volontiers qu’il n’était pas le plus grand expert de Tolkien avant de rejoindre le casting. “Il y a des gens qui le savaient grâce aux livres, des gens qui le savaient grâce aux films, et il y a ceux qui ont réussi à atteindre 46 ans sans en savoir grand-chose”, dit-il. Un personnage chargé de traditions Kinnear a plongé tête première dans l’histoire après s’être vu proposer le rôle. Sa plus grande inspiration pour la personnalité de Bombadil est venue d’une source surprenante : les anciennes formations rocheuses au large des côtes des Cornouailles, en Angleterre. « La roche de Cornouailles sort en quelque sorte de la mer et vous pouvez voir toutes les couches d’accrétion », explique Kinnear. Il pensait que ces images capturaient l’immense âge et la sagesse de Bombadil. Alors que la saison deux promet de plonger plus profondément dans les ténèbres avec le retour de Sauron, Bombadil sert de contrepoint bienvenu. « Tom Bombadil chante et dit des vers qui pourraient être des comptines tirées de poèmes pour enfants », explique Payne. “Il défie donc en quelque sorte le changement de ton du reste de la saison et constitue un véritable point de lumière au milieu d’une mer d’obscurité.” Tom Bombadil apporte à la fois fantaisie et mystère aux Anneaux de pouvoir. Bien que les showrunners ne répondent pas à toutes les questions persistantes sur le personnage, une chose est sûre : sa présence suscitera certainement une conversation (et peut-être même une gigue ou deux) entre les fans. Source : Vanity Fair
Résultats du Grand Prix de Monaco : Charles Leclerc goûte enfin à la victoire à domicile
Monaco. Le simple fait de prononcer ce mot évoque des images de luxe, de glamour et de l’événement phare du calendrier de la Formule 1. Pendant des décennies, le Grand Prix de Monaco a été le joyau de la saison de F1, chaque pilote rêvant de monter sur le podium avec la royauté, après avoir conquis le peloton et ces rues sinueuses et étroites. Mais pour Charles Leclerc, qui a grandi à Monaco et a appris à conduire dans ces mêmes rues, l’endroit qu’il appelle chez lui est peut-être son terrain de jeu personnel pendant 51 semaines par an, mais pendant la 52e semaine de chaque année, ces rues ont été son cauchemar personnel. Des années de chagrin à la maison, alors que le Grand Prix se déroulait dans les rues où il a grandi, continuaient de lui échapper. Jusqu’à aujourd’hui. Finalement, après des années de chagrin et tant d’histoires sur la « malédiction de Monaco » de Leclerc, le pilote a percé à domicile, clôturant une semaine impressionnante avec une victoire au Grand Prix de Monaco. Leclerc a terminé la journée vendredi en tant que pilote le plus rapide de la FP2, et l’a conservé lors de la FP3 et de la séance de qualification de samedi lorsqu’il a décroché la pole position lors de sa course à domicile pour la troisième fois de sa carrière. Mais Leclerc savait samedi soir que le travail n’était pas fait. « Les sensations après un tour de qualification sont toujours très particulières ici. Vraiment, vraiment content du tour. L’excitation est telle que ça fait vraiment du bien. Cependant, je sais que le plus souvent dans le passé, les qualifications ne font pas tout. Même si cela aide beaucoup pour la course de dimanche, nous devons tout mettre en place dimanche prochain », a déclaré Leclerc immédiatement après les qualifications de samedi. Il a transmis ce sentiment lors de la conférence de presse de la FIA quelques instants plus tard. “Cependant, nous devons maintenant nous concentrer sur la course et je ne peux pas me permettre de commencer à penser à ce que je ressentirai si (je gagne)”, a déclaré Leclerc. “Je pense que j’ai plus à gagner en me concentrant sur le processus pour y arriver et sur ce que nous pouvons faire dans ce que nous contrôlons jusqu’à la course de demain pour tout mettre en place et nous donner les meilleures chances afin de gagner la course de demain.” Et bien demain est là, et Leclerc est enfin sur la plus haute marche du podium à domicile. Leclerc a dû travailler pour la victoire, car les dieux de la F1 – et quelques pilotes autour de lui – n’ont pas rendu la tâche facile. Le pilote Ferrari a réussi son lancement hors de la ligne, gardant la tête dans le virage 1 contre Oscar Piastri, qui partait à ses côtés en deuxième position. Mais plus loin derrière lui, une collision massive entre Sergio Pérez, Kevin Magnussen et Nico Hülkenberg a éliminé les trois pilotes de la course. Critique pour la quête de Leclerc, les dommages causés aux trois voitures, ainsi qu’à la barrière, ont déclenché le drapeau rouge. Il lui faudrait un autre redémarrage. Après un long délai, Leclerc et le reste de la grille sont remontés dans leurs voitures et ont pris la piste pour le deuxième redémarrage, qui était un redémarrage arrêté selon les officiels de la course. Après avoir débuté le Grand Prix de Monaco avec une série de médiums, Ferrari a installé une série de durs sur le SF-24 de Leclerc, lui donnant la possibilité de parcourir la distance sans arrêt au stand. Mais il lui faudrait conserver la tête au départ pour que cela soit possible. Il l’a fait, repoussant Piastri lors du court passage dans le virage 1 à Sainte Dévote pour conserver son avance sur le pilote McLaren. Son coéquipier Carlos Sainz Jr., qui a subi une crevaison sur son pneu avant gauche dans le premier tour, a réussi à rester sur l’aileron arrière de Piastri jusqu’au redémarrage. Avec Lando Norris derrière Sainz, les quatre premiers étaient les mêmes au redémarrage, mais avec des pneus durs au lieu des médiums où ils avaient commencé. Piastri n’a pas abordé tranquillement l’après-midi monégasque, car le pilote McLaren a maintenu la pression sur Leclerc tout au long des douze tours suivants, collant sur l’aileron arrière de Leclerc et forçant le héros local à atteindre ses marques tout au long de chaque tour. Finalement, Leclerc a commencé à se dégourdir un peu les jambes. Il s’est retiré de la portée du DRS pour Piastri, et alors que la course se déroulait à moins de 20 tours de la fin, Leclerc disposait d’une avance de plus de 1,5 seconde sur son plus proche poursuivant. Et avec des pilotes tels que Lando Norris en P4, George Russell en P5 et le toujours dangereux Max Verstappen de retour en P6, Leclerc avait juste besoin de ramener son SF-24 à la maison dans les derniers tours pour enfin goûter à la victoire à domicile. Et repousser les derniers obstacles que sa malédiction personnelle de Monaco pourrait lui poser. Il n’y aurait aucun obstacle. Pas d’arrêts aux stands bâclés, pas d’erreurs ou de faux pas. Pas ce jour-là. Après des années de chagrin, des années d’agonie, des années à se demander s’il atteindrait un jour la plus haute marche de sa course à domicile, ce jour est enfin arrivé. Charles Leclerc avait remporté le Grand Prix de Monaco. Alors qu’il franchissait la ligne d’arrivée, l’exclamation était simple, mais poignante, de la part du pilote Ferrari. “Oui! Oui! Oui! Oui!” Dans les heures à venir, il y aura plus de gagnants et de perdants, plus de récapitulations et plus de discussions sur un fascinant Grand Prix de Monaco. Mais ce jour-là, Leclerc est seul. Enfin.
Grand Prix F1 de Miami : Lando Norris accède enfin à la plus haute marche
MIAMI — Sa semaine a commencé par des questions sur la coupure au nez. Cela s’est terminé avec une célébration sur la plus haute marche du podium. Après des années de recherche, Lando Norris a enfin profité de sa journée au soleil ici, lors du Grand Prix de Formule 1 de Miami, en remportant la première victoire de sa carrière en F1. McLaren a apporté une multitude d’améliorations à Miami cette semaine, et ces améliorations se sont révélées prometteuses lors des deux premières séances de qualification Sprint lorsque Norris était sur le composé moyen. Norris a dominé les feuilles de chronométrage en SQ1 et SQ2, mais a connu des difficultés lors de la troisième séance sur les tendres, glissant dans l’ordre et se qualifiant en P9. Sa course de F1 Sprint s’est terminée au premier virage samedi, alors qu’il a été emporté par un incident impliquant quatre voitures qui a laissé sa MCL38 avec des dommages terminaux. McLaren a pu préparer sa voiture pour les qualifications pour le Grand Prix de Miami plus tard dans la journée, et Norris a de nouveau montré un rythme décent, terminant cette séance en P5. Mais avec Max Verstappen partant en pole position, il semblait que ce Grand Prix de Miami se terminerait comme tant d’autres courses au cours des trois dernières saisons, le reste de la grille poursuivant Verstappen en vain. Mais cela a changé dimanche. Norris était sixième au début du Grand Prix de Miami, mais au fil des tours, il a continué à montrer un rythme formidable. Il a réalisé ce qui était jusqu’alors le tour le plus rapide de la course au tour 19 et courait près de l’avant à mi-chemin de la course. C’est à ce moment-là que Norris, qui devait encore effectuer son arrêt au stand obligatoire et son changement de pneu, a obtenu la pause dont il avait besoin. Une collision entre Kevin Magnussen et Logan Sargeant a projeté le pilote Williams dans la barrière, faisant finalement sortir la voiture de sécurité. Cela a permis à Norris de s’arrêter dans des conditions idéales, et il est sorti sur une série de durs devant Verstappen. Mais avec le pilote Red Bull qui se cachait, Norris devait s’en tenir au redémarrage et s’éloigner de la portée du DRS le plus rapidement possible pour mener à bien la journée. C’est exactement ce qu’il a fait. Au cours des dernières étapes du Grand Prix de Miami, Norris a lentement construit une avance, la maintenant dans les derniers tours. Alors qu’il s’éloignait, Verstappen a clairement fait savoir qu’il n’allait pas pouvoir poursuivre la McLaren devant lui. “Je n’arrive pas à faire tourner la voiture”, a déploré Verstappen à son équipe dans les stands. “C’est une catastrophe.” Ce fut tout sauf un désastre pour le pilote McLaren, qui a finalement réussi à atteindre la plus haute marche pour la première fois de sa carrière en F1. “À propos du temps!” s’est exclamé Norris après la course au bord de la piste à Jenson Button. « Quelle course. Cela a mis du temps à venir, mais j’ai finalement réussi à le faire. Je suis tellement heureux pour toute mon équipe, j’ai enfin tenu parole pour eux. Une longue journée, une course difficile, mais finalement au top donc je suis aux anges. “Tout le week-end a été bon, j’ai juste eu quelques petits revers en cours de route”, a poursuivi Norris. « Je savais que vendredi nous avions le rythme, juste quelques erreurs ici et là, mais aujourd’hui nous avons réussi à nous en sortir. Nous avons mis en place la stratégie parfaite (ensemble), tout a payé. Merci à McLaren, à tout le monde, et je dois remercier ma mère et mon père bien sûr. Norris a également été interrogé sur son équipe, qui lui a donné sa chance en course. Il n’a pas retenu sa gratitude. « Qu’est-ce que je leur dis ? Je suis juste vraiment fier », a répondu Norris. « Beaucoup de gens ont douté de moi en cours de route. J’ai commis beaucoup d’erreurs au cours de mes cinq dernières années, de ma courte carrière, mais aujourd’hui, nous avons tout mis en place, donc c’est tout pour l’équipe. « Je suis resté avec McLaren parce que je pouvais croire en elles et j’y croyais. Aujourd’hui, c’est exactement ce qui s’est produit.
Grand Prix F1 de Miami : Alpine perce enfin
MIAMI — Patrick Mahomes et Travis Kelce voudront peut-être vérifier leur équipe de Formule 1 plus souvent. Un début lent de la saison 2024 de Formule 1 a finalement permis à Alpine de percer dimanche lors du Grand Prix de Miami. Après des semaines de développement, d’appels serrés et de progrès, une dixième place d’Esteban Ocon a permis à l’équipe de remporter son premier point de la saison. Ce résultat les fait sortir du bas du classement des constructeurs de F1 et les place à la huitième place, devant Sauber et Williams. De l’autre côté du garage Pierre Gasly termine 12ème, son meilleur résultat de la saison. Toute la semaine ici à Miami, Ocon, Gasly et le pilote de réserve Alpine Jack Doohan ont parlé des progrès réalisés par l’équipe avec l’A524. Les deux pilotes se sont qualifiés pour la Q2 lors de la séance de qualification de samedi soir, et avec Ocon commençant la course en P12 et Ocon en P13, c’était la meilleure position de départ de l’équipe de toute la saison. “Je pense que nous pouvons être satisfaits”, a déclaré Gasly aux médias après les qualifications, notamment Nation SB. “Et cela montre simplement que nous allons dans la bonne direction. Puis est venu le trajet de dimanche d’Ocon, qui a vu le pilote Alpine repousser Nico Hülkenberg pour la dernière position dans les points. Bien qu’il ait parlé aux médias après la course, Ocon a admis que si le Grand Prix de Miami avait duré quelques tours de plus, l’histoire aurait pu être différente. “Je pense qu’aujourd’hui, vous savez, si vous aviez probablement dix tours de plus, Nico aurait été très proche de se battre à nouveau avec nous”, a déclaré Ocon aux médias, notamment Nation SB, après le Grand Prix de Miami. « J’ai dû me battre pour me frayer un chemin dans cette course. C’était fou le nombre de mouvements que je devais faire. Ocon a également mis en perspective le parcours de l’équipe jusqu’à présent. « Nous ne voulons pas sauter partout et célébrer trop fort. Évidemment, ce n’est qu’un top dix », a décrit Ocon. “Mais compte tenu de l’endroit où nous étions, il y a quelques courses à Bahreïn, 19e et 20e. Je pense, vous savez, que nous pouvons retirer le positif de cette course et des petits pas que nous faisons en ce moment. « Et cela fait évidemment du bien parce que l’équipe est restée motivée, a continué à essayer de comprendre ce qui se passe avec notre rythme. Et ça n’a pas été le week-end le plus fluide, je dirais, mais vous savez, cela fait deux courses que nous nous rapprochons des points. 11 à Shanghai, dixième aujourd’hui », a poursuivi Ocon. “Nous sommes dans les points et oui, ça fait du bien de sortir de ce week-end avec une récompense.” De son côté, le Team Principal Bruno Famin a salué une performance « sans faute » de la part de toute l’organisation. « C’est notre premier point de la saison aujourd’hui, donc d’un point de vue sportif, c’est satisfaisant pour nous. Nous avions un plan clair selon lequel une voiture essaierait de s’arrêter tôt et de saper les voitures autour de nous tandis que l’autre voiture prendrait le pari en effectuant un premier relais plus long dans l’espoir d’une (voiture de sécurité virtuelle), (voiture de sécurité) ou rouge. scénario de drapeau », a déclaré Famin. « A cette occasion, c’est comme ça que ça s’est passé et c’est Esteban qui a marqué le point à la dixième place. « Ce fut une course sans faute de la part de tous les membres de l’équipe – stratégie, gestion de course, arrêts aux stands – et nous en avons fait suffisamment pour que l’équipe en profite. Le week-end a été bien plus positif ici à Miami et nous devons continuer à nous battre pour obtenir plus si nous voulons continuer à nous battre pour des positions plus élevées. Le travail acharné se poursuivra alors que nous envisageons de retourner en Europe la prochaine fois. Le week-end sans faute d’Abbi Pulling, pilote de la F1 Academy de l’équipe, n’est pas en reste. Pulling a dominé le peloton ce week-end, commençant – et remportant – les deux courses fil à fil. Pulling a prolongé son avance au Championnat de la F1 Academy à 34 points sur la pilote Mercedes Dorine Pin. Au total, un week-end formidable pour Alpine, et peut-être quelques raisons pour Mahomes et Kelce de venir plus souvent.
LIV Golf : Anthony Kim a enfin un parcours dont il peut être fier
Anthony Kim a démarré en force l’événement LIV Golf Singapore, et il semble que sa forme soit enfin de retour. Il a réussi un score de 69 de moins de 2 pour afficher son meilleur score de l’année. Kim fait partie du top 20 puisque lui et Jon Rahm ont enregistré le même score. Il a réussi trois birdies et un seul bogey ce jour-là. “Le score aurait pu être bien meilleur, mais c’est le meilleur parcours de frappe de balle depuis mon retour au golf”, a écrit Kim sur son Twitter. « J’attends avec impatience non seulement les deux prochains jours mais le reste de l’année @livgolf_league. Je ne pourrai jamais assez remercier mes supporters pour l’amour qu’on m’a témoigné. Kim est à quatre coups du leader Sebastian Munoz, qui a tiré un 6-under 65 ce jour-là. Brooks Koepka et Thomas Pieters ont également enregistré des 5-moins de 66 ans. Le joueur de 38 ans connaît des difficultés depuis son retour au golf, ce qui a suscité beaucoup de haine. Kim répond à ces haineux et reste honnête. Il a participé à quatre épreuves cette année. Dans ces tournois, Kim a été bon dernier ou tout en bas du classement, tirant entre le milieu et les années 70. Cela n’a pas été joli, mais jeudi, il a enfin vu des étincelles de son talent se manifester. Anthony Kim a réussi un premier 2 sous la normale 69 au LIV Golf Singapore avec 3 birdies et seulement 1 bogey. Il s’agit de son premier tour le plus bas depuis son retour et il se situe dans le top 20 aux côtés du double vainqueur majeur, Jon Rahm. pic.twitter.com/604KDqowCU – Le rincer (@flushingitgolf) 3 mai 2024 Kim a commencé sa journée sur le 13e par 4 au parcours de golf de Serapong. Il a commencé avec cinq pars consécutifs avant que son premier putt de birdie ne tombe au 18e par 5. Le joueur wildcard du LIV a laissé tomber son seul coup de la journée sur le trou suivant. Il a ensuite pris de l’élan en réussissant des birdies aux 4e et 7e. Kim se contenterait de cinq pars pour clôturer sa ronde. Il est à égalité aux côtés de Rahm, Peter Uihlein, Sergio Garcia, Brendan Grace, Paul Casey et Jason Kokrak. Un tour pourrait être une anomalie. Mais s’il réalise une autre manche solide samedi, les choses pourraient enfin s’améliorer pour Kim à son retour. Savannah Leigh Richardson est rédactrice en chef du personnel de golf pour Playing Through de SB Nation. Pour plus de couverture sur le golf, assurez-vous de nous suivre @_PlayingThrough sur toutes les principales plateformes sociales. Vous pouvez également la suivre sur Twitter @SportsGirlSL et Instagram @savannah_leigh_sports.
Pourquoi Marvel Studios adopte enfin les émissions Netflix
Vous vous souvenez des émissions épiques de Netflix comme Daredevil, Jessica Jones et Luke Cage ? Eh bien, après des années d’existence dans un univers séparé, Marvel Studios les ramène enfin dans le MCU ! C’est vrai, Disney+ place officiellement ces émissions sur la chronologie du MCU de Marvel Studios, et des personnages comme Daredevil et Kingpin sont prêts à se jeter dans le même monde qu’Iron Man et Captain America. Cette nouvelle nous a enthousiasmés, nous sommes donc là pour tout expliquer pour vous. Attachez votre ceinture ! Bienvenue chez vous, défenseurs ! Daredevil : Born Again mène la charge Vous vous demandez peut-être pourquoi il a fallu si longtemps aux studios Marvel pour adopter les émissions Netflix. La réponse? Guerre d’Infini et Fin de partie. Selon Brad Winderbaum, responsable du streaming chez Marvel Studios, ils étaient concentrés au laser sur ces films massifs et ne pouvaient tout simplement pas gérer l’intégration des émissions Netflix en même temps. Il s’agissait de créer une expérience cinématographique cohérente, et il n’y avait tout simplement pas assez de bande passante pour tout jongler. Mais n’ayez crainte, défenseurs de la justice ! Une fois la saga Infinity terminée, Marvel Studios est prêt à étendre considérablement le MCU. Le premier pas? Daredevil : Born Again est une toute nouvelle série mettant en vedette Charlie Cox dans le rôle de l’Homme sans peur lui-même. Et devine quoi? Vincent D’Onofrio est de retour dans le rôle du méchant emblématique, Kingpin ! Voici la partie la plus cool : de nombreuses personnes qui ont travaillé sur les émissions Netflix reviennent pour Daredevil : Born Again. Dario Scardapane (de The Punisher) est le showrunner, et l’équipe de réalisation regorge de talents de Loki. De plus, Philip Silvera (de Daredevil) est de retour en tant que coordinateur des cascades ! C’est comme une réunion Netflix-Marvel ! Le Punisher rejoint la mêlée : est-il ami ou ennemi ? Et les surprises ne s’arrêtent pas là. Jon Bernthal, le justicier préféré de tous, reprend officiellement son rôle de The Punisher ! Nous reverrons également Deborah Ann Woll dans le rôle de Karen Page et Elden Henson dans le rôle de Foggy Nelson. Mais voici le problème : avec Wilson Fisk apparemment réformé après les événements d’Echo, Daredevil et The Punisher le verront-ils comme une menace ou un allié potentiel ? Il y a beaucoup de spéculations sur des flics voyous utilisant le symbole Punisher, donc les choses pourraient vite devenir compliquées ! Netflix présente officiellement Marvel Studios Canon : une nouvelle ère pour le MCU Alors qu’est-ce que tout cela veut dire? Cela signifie que les émissions Netflix bien-aimées font officiellement partie de la chronologie du MCU ! Disney+ les mettant sur la chronologie est une déclaration claire, et cela ouvre la porte à encore plus de personnages et de scénarios à intégrer dans la tapisserie MCU en constante expansion. En parlant de scénarios, la fin de Marvel Studios Echo lance une boule de courbe majeure à Kingpin. Il pourrait être libéré de sa rage et de sa douleur, et avec cela, un tournant choquant pourrait survenir : une candidature à la mairie de New York ! Vous vous souvenez du scénario de la bande dessinée où Matt Murdock était maire adjoint et Luke Cage se présentait aux élections ? Les choses pourraient devenir intéressantes si Fisk croit vraiment qu’il peut être une force du bien. De plus, avec Bernthal publiant une image liée à l’histoire de The Punisher, pourrions-nous avoir des flashbacks explorant comment Frank Castle est devenu le justicier que nous connaissons ? L’avenir est radieux pour Daredevil et les Defenders ! Une chose est sûre : l’avenir est prometteur pour Daredevil and the Defenders ! Avec eux officiellement dans le MCU, les possibilités sont infinies. On a hâte de voir comment leurs histoires se dérouleront aux côtés des autres héros de l’univers Marvel. Restez à l’écoute pour plus de mises à jour et dites-nous ce qui vous passionne le plus dans les commentaires ci-dessous ! Source : Saignement Cool