Vous vous souvenez de ces maillots de bain rouges emblématiques et de ces scènes de course au ralenti ? Ouais, Alerte à Malibu fait un retour en force sur nos écrans, et nous sommes totalement prêts à y plonger. Ce drame légendaire de sauveteurs, connu pour ses superbes paysages californiens et, bien, pour son casting attrayant, est en train de redémarrer, et voici la vérité. Des sauveteurs aux icônes de la culture pop : L’original Alerte à Malibu a duré 11 saisons, ce qui en fait l’une des émissions les plus regardées de tous les temps. Il ne s’agissait pas seulement de sauver des vies ; il s’agissait de corps bronzés, de sauvetages spectaculaires et, soyons honnêtes, de choix de mode sérieusement discutables (en vous regardant, une-pièce rose fluo). Mais bon, ça a diverti les masses, et c’est ça qui compte, non ? Le reboot : nouvelles vagues, même baie ? Le nouveau Alerte à Malibu est prêt à frapper les vagues sur Renard, et cette fois, il s’agit d’une nouvelle génération de sauveteurs. Nous les verrons patrouiller les plages, faire face au danger et naviguer dans les eaux agitées de la vie (jeu de mots). Le mot officiel est qu’il s’agira d’un « redémarrage bourré d’action » avec un accent sur la « famille retrouvée » que ces sauveteurs construisent. Alors, est-ce que ce sera le même plaisir ringard que nous connaissons et aimons ? Nous devrons attendre et voir. Mais une chose est sûre : avec des visuels époustouflants, une action à indice d’octane élevé et, espérons-le, une touche d’humour de l’original, le redémarrage de Baywatch a le potentiel d’être un succès estival. Qui est sur le pont ? Le casting du redémarrage est encore secret, mais nous pouvons imaginer qu’il sera rempli de nouveaux visages prêts à porter ces maillots de bain rouges emblématiques (et j’espère qu’ils auront appris une leçon du passé et abandonneront le rose fluo). Prêt à attraper quelques vagues ? Que vous soyez un fan nostalgique de l’original ou que vous recherchiez simplement des plaisirs estivaux, le redémarrage de Baywatch vaut vraiment la peine d’être surveillé. Alors, prenez votre crème solaire, dépoussiérez vos bouées et préparez-vous à revivre l’ambiance de la plage (et peut-être certains choix de mode douteux) lorsque Baywatch fera son grand retour. Source: Variété
Jason Voorhees revient-il ? Jason Blum parle du redémarrage du vendredi 13
Très bien, têtes d’horreur, rassemblez-vous autour du feu de camp (et gardez peut-être un œil sur les masques de hockey) parce que nous parlons vendredi 13. Cette franchise slasher emblématique fait froid dans le dos et fait bondir le public de son siège depuis plus de quatre décennies. Mais avec les rumeurs d’un redémarrage qui tourbillonnent, faisons un voyage dans le passé, masque de hockey et tout. Le Slasher OG : Tout a commencé en 1980 avec un principe simple : un groupe d’adolescents se rend au Camp Crystal Lake pour un week-end de plaisir, de soleil et de mauvaises décisions. Malheureusement pour eux, ils rencontrent également un maman vengeresse cherchant à se venger de la noyade de son fils, Jason, des années plus tôt. Cela ouvre la voie à un bon moment (pour le public, du moins) alors que Jason, désormais un maniaque masqué de hockey apparemment invincible, élimine les adolescents un par un. La franchise qui ne mourrait pas : Malgré (ou peut-être à cause de) sa formule simple, vendredi 13 a engendré un franchise massive. Au fil des années, nous avons vu Jason exploser, gelé, envoyé dans l’espace (sérieusement) et même transformé en cyborg. À travers tout cela, les éléments centraux sont restés : des adolescents faisant des choix terribles, des meurtres créatifs et un slasher invincible avec un sérieux problème de maman. Jason revient-il ? La franchise est coincée dans un vide juridique depuis des années, mais des rumeurs récentes suggèrent qu’un redémarrage pourrait être en préparation. Producteur d’horreur extraordinaire Jason Blum (aucun lien avec le tueur masqué de hockey, à notre connaissance) a exprimé son intérêt à ramener la franchise. Serait-ce le retour du résident préféré du Camp Crystal Lake ? Seul le temps nous le dira, mais une chose est sûre : les fans d’horreur sont prêts pour une autre portion de frissons (et peut-être quelques rires) avec le garçon à maman masqué de hockey préféré de tous. Alors, quel est le verdict ? vendredi 13 n’est peut-être pas la franchise d’horreur la plus sophistiquée, mais c’est une pierre de touche culturelle. C’est un bon moment campy rempli de frayeurs, de meurtres créatifs et d’un sens de l’humour tueur (jeu de mots). Que vous soyez un fan inconditionnel ou un débutant en horreur, il y a indéniablement quelque chose de divertissant à regarder des adolescents prendre de terribles décisions tout en étant traqués par un maniaque masqué au hockey. Et qui sait, peut-être que Jason sera bientôt de retour, prêt à poursuivre son règne de terreur au Camp Crystal Lake. N’oubliez pas que si jamais vous vous retrouvez dans un camp d’été le vendredi 13, restez peut-être à l’intérieur. On ne sait jamais qui pourrait se cacher dans l’ombre. Source: BD
Résister au battage médiatique : DeWanda Wise et l’avenir orageux des X-Men
Salut les cinéphiles ! Vous avez toujours rêvé de contrôler la météo d’un simple mouvement du poignet ? Eh bien, écartez-vous, X-Men, parce que nous sommes sur le point de parler du réel femme qui pourrait bientôt brandir la foudre : DeWanda Sage. Cette actrice talentueuse a fait des vagues à Hollywood, et maintenant, des rumeurs circulent selon lesquelles elle pourrait assumer le rôle emblématique de Tempête dans le prochain X Men redémarrer. Mais y a-t-il du vrai dans ces spéculations ? Attachez votre ceinture, car nous plongeons dans le monde électrisant de DeWanda Wise et son potentiel en tant que prochaine Storm. De Jurassic Dominion au X-Mansion ? DeWanda Wise n’est pas étranger au grand écran. Elle a déjà impressionné le public avec ses rôles dans des émissions comme « She’s Gotta Have It » et des films comme « Jurassic World Dominion ». Mais il semble qu’il y ait un personnage qui l’attire particulièrement : le puissant et élégant Ororo Munroe, alias Tempête. En 2018, DeWanda a déclenché une frénésie de fans lorsqu’elle a exprimé son intérêt à jouer à Storm sur Instagram. Les fans, avides d’une nouvelle version du mutant météorologique, ont facilement adopté l’idée. L’esprit féroce et les talents d’acteur de DeWanda semblaient correspondre parfaitement à l’héroïne emblématique. Plus qu’un simple rêve : un match réalisé au paradis de Marvel ? L’intérêt de DeWanda n’était pas qu’une fantaisie passagère. Dans une récente interview, elle a réitéré son désir de incarner Storm, soulignant qu’elle ne serait intéressée par aucun autre personnage de Marvel. Cette passion inébranlable n’a fait qu’alimenter les flammes de la spéculation des fans, laissant tout le monde se demander : « DeWanda Wise deviendra-t-il la prochaine tempête ? Bien qu’il n’y ait pas encore de confirmation officielle, l’intérêt de DeWanda et la réponse enthousiaste des fans suggèrent qu’elle pourrait être la personne idéale pour le rôle. Alors que la franchise X-Men se prépare pour un redémarrage sous la bannière MCU, le moment ne pourrait pas être meilleur. Imaginez DeWanda, offrant une performance puissante dans le rôle de Storm, aux côtés d’autres mutants emblématiques de l’univers cinématographique Marvel. Tu parles d’un ajout électrisant ! Alors, quel est le verdict ? Le casting potentiel de DeWanda Wise dans le rôle de Storm est une nouvelle passionnante pour les fans des X-Men et l’actrice elle-même. Son talent, sa passion et son lien avec le personnage en font une candidate sérieuse pour le rôle. Reste à savoir si elle enfilera l’emblématique mohawk blanc et déclenchera une tempête cinématographique, mais une chose est sûre : DeWanda Wise est définitivement à surveiller dans le monde en constante évolution des films de super-héros. Source : Couvert Geekly
Deadpool 3 présentera-t-il notre voyageur temporel préféré ?
Le Merc with a Mouth est de retour, et cette fois, il ne se contente pas de briser le quatrième mur – il pourrait le faire. briser la barrière du temps aussi! Dead Pool 3 apporte les rires, l’action et, selon les rumeurs, un visage de retour à la franchise : Câble. Mais avant de plonger dans le futur (ou peut-être dans le passé ?), revenons un peu en arrière. Câble : le soldat du futur sur grand écran Pour ceux qui ont raté Dead Pool 2Cable, joué par le toujours bourru Josh Brolinétait un soldat dur à cuire du futur qui s’est écrasé dans notre chronologie avec un seul objectif : tuer un enfant. Ce n’est pas exactement l’énoncé de mission le plus héroïque, mais bon, Cable a un passé compliqué (nous en reparlerons plus tard). Il finit par faire équipe à contrecœur avec Deadpool, formant un duo improbable qui a livré certains des moments les plus drôles du film (et les scènes de combat les plus explosives). Cable : un croisé de bande dessinée issu d’un avenir dystopique Dans le BD X-Men, L’histoire de Cable est encore plus folle. Il est en fait le fils de Cyclope et Madelyne Pryor, un clone de Jean Grey. Oui, les bandes dessinées peuvent parfois être assez tordues. Cable a été infecté par un virus techno-organique lorsqu’il était bébé, lui donnant un bras robotique et des améliorations cybernétiques vraiment cool (et douloureuses). Élevé dans un avenir ravagé par la guerre, Cable est devenu soldat et a finalement formé sa propre équipe appelée X-Force. Il voyage dans le temps pour empêcher qu’un avenir dystopique ne se produise, ce qui l’amène dans le monde farfelu de Deadpool dans les bandes dessinées. Alors, que signifierait le retour de Cable dans Deadpool 3 ? Alors que Brolin lui-même a nié avoir officiellement repris le rôle, des rumeurs circulent selon lesquelles Cable aurait été pris en compte d’une manière ou d’une autre dans l’intrigue. Qu’il s’agisse de Brolin ou d’un nouvel acteur, la présence de Cable ouvre toute une boîte de vers voyageant dans le temps que Deadpool doit démêler. Une chose est sûre : Deadpool 3 s’annonce comme une aventure imprévisible et hilarante. Que Cable rejoigne la fête ou non, une chose est sûre : Deadpool trouvera un moyen de semer la pagaille, et nous ne le ferions pas autrement. Source: Bande DessinéeFilm
Deadpool 3 apporte le chaos (et peut-être la télépathie ?)
Gardez vos chimichangas, fans de Marvel, parce que Deadpool et Wolverine alias Deadpool 3 se prépare à être une aventure folle ! Le mercenaire en costume rouge et grossier préféré de tous est de retour, et cette fois, il affronte un tout nouvel ennemi : Cassandra Nova. Qui est Cassandra Nova, demandez-vous ? Eh bien, attachez votre ceinture, car son histoire est un sacré voyage. Dans le monde farfelu des bandes dessinées X-Men, Cassandra Nova n’est pas une mutante typique. Elle est un Mummudrai, une forme de vie parasite qui existe sur le plan astral. Ces bestioles effrayantes s’accrochent essentiellement aux bébés à naître dotés d’un potentiel psychique, se nourrissant de leur énergie et finissant par former leur propre corps. Tu parles d’un freeloader, n’est-ce pas ? Alors, comment Cassandra Nova se retrouve-t-elle liée à Charles Xavier, le chef télépathe des X-Men ? Eh bien, elle l’a choisi comme hôte malheureux alors qu’il était encore dans le ventre de sa mère. Mais Xavier, étant le puissant mutant qu’il est, a riposté avec ses pouvoirs psychiques et l’a fait exploser. Cependant, ce faisant, il a accidentellement donné à Nova la capacité de créer une forme physique basée sur son propre ADN. En gros, elle est devenue la sienne soeur jumelle psychique maléfiquece qui est gâché à un tout autre niveau. Avance rapide jusqu’à l’âge adulte, et Cassandra Nova apparaît comme une menace majeure pour les X-Men. Elle possède tous les pouvoirs télépathiques de Xavier, mais avec un programme bien plus tordu. Elle est manipulatrice, impitoyable et a une grande rancune contre son « frère ». Alors, qu’est-ce que cela signifie pour Deadpool ? Nous ne connaissons pas encore tous les détails, mais le fait qu’ils présentent Cassandra Nova suggère que les choses sont sur le point de se développer. sérieusement époustouflant. Pouvez-vous imaginer Deadpool face à un méchant télépathique avec une tendance sadique ? C’est une recette pour un chaos hilarant, et nous sommes définitivement là pour ça. Une chose est sûre : Deadpool 3 s’annonce comme une aventure inoubliable. Que vous soyez un fan inconditionnel de Marvel ou que vous cherchiez simplement à bien rire (avec un côté violent, bien sûr), ce film vaut vraiment la peine d’être surveillé. Source: IndéWire
Revue de Midnight Peepshow : ambitieuse et incroyablement macabre
Peepshow de minuit marque une aventure ambitieuse et fascinante dans le macabre, entrelaçant un labyrinthe de désir, de peur et de grotesque qui plonge profondément dans la psyché de son public. Réalisé par un mélange éclectique de réalisateurs – Jake West, Andy Edwards, Airell Anthony Hayles et Ludovica Musumeci – le film orchestre un sinistre ballet d’horreur, de captivation et de décadence morale aussi stimulant que troublant. Avec une prémisse étrange centrée autour d’un sinistre peep show qui explore les recoins les plus profonds de la dépravation humaine, Peepshow de minuit réussit à tisser une riche tapisserie de récits aussi convaincants qu’horribles. Le bon: Au cœur du film se trouve Madame sans nom, interprétée avec une finesse effrayante par Chiara D’Anna, dont la performance ancre les innombrables rebondissements du récit. Son portrait du propriétaire mystérieux et énigmatique est tout simplement fascinant, apportant une certaine gravité et nuance au rôle rarement vu dans le cinéma d’horreur contemporain. Les acteurs secondaires, dont Derek Nelson, Bethan Walker, Jamie Bacon et Mark Hampton, offrent des performances louables qui rehaussent l’atmosphère envoûtante et la complexité narrative du film. L’intrigue se déroule dans les limites étranges du peep show, où un homme d’affaires, interprété avec un mélange équilibré de vulnérabilité et d’arrogance par Mark Hampton, se retrouve piégé dans un voyage cauchemardesque à travers trois histoires macabres de victimes piégées par un site Web d’extrême fantaisie. Cette prémisse permet aux cinéastes d’explorer les thèmes du désir, du péché et des conséquences à travers une lentille à la fois sombrement captivante et profondément dérangeante. Le récit est structuré de manière à non seulement maintenir le suspense, mais également à proposer une exploration plus profonde et plus troublante des conséquences de la satisfaction de ses désirs les plus sombres. La mise en scène de West, Edwards, Hayles et Musumeci est louable pour sa vision cohérente au milieu de la diversité des styles. Chaque segment porte la marque unique de son réalisateur. Pourtant, le film conserve une esthétique unifiée qui sert à renforcer l’impact global. L’interaction de la lumière et de l’ombre, combinée à une partition évocatrice, crée une ambiance envoûtante. Les réalisateurs parviennent à trouver un équilibre délicat entre choc et subtilité, créant un film d’horreur aussi intellectuellement engageant que viscéral. Cela dit, l’utilisation innovante de la narration visuelle dans le film est une caractéristique remarquable. Les réalisateurs emploient une myriade de techniques cinématographiques pour évoquer un sentiment d’effroi et de désorientation. Il plonge efficacement le spectateur dans l’univers cauchemardesque du film. L’un des aspects les plus convaincants de Peepshow de minuit est son exploration des ambiguïtés morales inhérentes à sa prémisse. Le film n’hésite pas à présenter ses personnages en nuances de gris. Cela met le public au défi de confronter ses propres perceptions du bien et du mal. Cette complexité morale ajoute une couche riche au récit. En termes de rythme, le film présente un équilibre presque parfait. Il entremêle habilement ses multiples intrigues tout en gardant le public engagé et nerveux. Le passage d’une histoire à l’autre se fait en douceur. Cela permet un flux narratif à la fois cohérent et convaincant. Cela témoigne du savoir-faire des réalisateurs et des monteurs, qui parviennent à maintenir un sentiment de cohésion. Tout cela malgré la structure épisodique du film. Le mauvais: Cependant, Peepshow de minuit n’est pas sans défauts. Par moments, le film semble trop se complaire dans sa propre complexité. Cela conduit à des moments où le fil narratif devient quelque peu obscurci par son ambition. De plus, certains éléments d’horreur semblent un peu dérivés. Certains empruntent beaucoup aux classiques du genre sans toujours offrir une nouvelle perspective. Cela est particulièrement visible dans le deuxième récit qui, malgré ses promesses initiales, échoue quelque peu dans son exécution. Dans l’ensemble: Peepshow de minuit se distingue également par son commentaire social. Le film critique la monétisation du désir humain et les dilemmes éthiques à l’ère numérique à travers son site Web d’extrême fantasy. Cette profondeur thématique définit Peepshow de minuit à l’écart de beaucoup de ses contemporains. Ce n’est pas seulement un film d’horreur passionnant, mais aussi un examen provocateur des recoins les plus sombres de la société moderne. Peepshow de minuit est une incursion audacieuse et imaginative dans le genre de l’horreur. Il impressionne par sa tension atmosphérique, ses performances convaincantes et sa profondeur thématique. Agissant – 7,5/10 Cinématographie/Effets visuels – 7,5/10 Intrigue/Scénario – 7/10 Cadre/Thème – 7/10 Observabilité – 8/10 Re-regardabilité – 6,5/10
Harlem Heat : mon aperçu des coulisses de Daredevil : Born Again
Salut, amis fans de Daredevil ! Devinez qui est tombé sur le tournage de la série épique Daredevil : Born Again ? C’est vrai… votre serviteur ! Imaginez ceci : moi, me promenant dans Harlem, m’occupant de mes affaires quand BAM ! Le voilà, le tournage de Daredevil : Born Again, juste dans mon jardin ! Alors que je passais devant les services artisanaux, je pouvais pratiquement sentir la tension entre Matt Murdock et Wilson Fisk grésillant dans l’air. Mais bon, pas de spoilers ici ! Vous avez aperçu Charlie Cox ? Vous pariez! Mec a l’ambiance Daredevil, même hors caméra. Ensemble de casse-cou Photos Oh, et ai-je mentionné l’énergie sur le plateau ? C’est comme si une confrontation entre super-héros rencontrait une réunion de famille, intense mais étrangement réconfortante. Alors voilà, ma petite aventure dans le monde de Daredevil : Born Again. Restez à l’écoute pour d’autres manigances en coulisses ! À propos de Daredevil Born Again « Daredevil : Born Again » est une prochaine mini-série télévisée américaine créée pour Disney+, basée sur le personnage de Marvel Comics Daredevil. Il fera partie du Marvel Cinematic Universe (MCU) produit par Marvel Studios et suivra le personnage de Matt Murdock, également connu sous le nom de Daredevil. La série mettra en vedette Charlie Cox reprenant son rôle de Matt Murdock / Daredevil de la série télévisée Netflix de Marvel. Parmi les autres acteurs de retour figurent Vincent D’Onofrio dans le rôle de Wilson Fisk / Kingpin et Jon Bernthal dans le rôle de Frank Castle / Punisher, entre autres. La prémisse de la série tourne autour de Matt Murdock et Wilson Fisk essayant de mettre de côté leur rivalité et leurs alter ego plus sombres pour aider les habitants de New York, seulement pour que leur passé les rattrape. Le développement de la série a débuté début 2022, avec un tournage débutant en mars 2023 à New York. Cependant, la production a été suspendue en juin en raison de la grève de la Writers Guild of America en 2023. Marvel Studios a décidé de remanier la série d’ici fin septembre 2023, entraînant des changements dans l’équipe créative et la direction de la série. Le tournage a repris en janvier 2024. La série devrait comprendre 18 épisodes divisés en neuf moitiés. Actuellement, la série devrait être diffusée sur Disney+ en 2025. Elle fera partie de la phase cinq du MCU. Dans l’ensemble, « Daredevil : Born Again » promet d’être un ajout très attendu à l’univers cinématographique Marvel, poursuivant l’histoire de Daredevil d’une manière nouvelle et passionnante.
De lutteur à acteur : Dave Bautista ouvert à plus de merveilles
Yo, les cinéphiles ! Vous vous souvenez de ce mec tatoué des « Gardiens de la Galaxie » qui craque sagement et lance des coups de poing avec le même enthousiasme ? Ouais, c’est Dave Bautistaet son parcours vers la célébrité hollywoodienne est tout sauf ordinaire. Du ring au grand écran : Bautista n’a pas toujours écrasé les extraterrestres et n’a pas toujours fait vibrer un physique déchiré. Il a débuté dans le monde de lutte professionnelle, affrontant The Undertaker et Triple H. Il a même remporté des titres assez impressionnants, prouvant qu’il était une force avec laquelle il fallait compter dans le cercle carré. Mais Bautista avait envie de plus que simplement claquer des corps. Il avait un talent caché pour le métier d’acteur et finalement, Hollywood est venu frapper à sa porte. Sa grande percée a eu lieu en 2014 lorsqu’il a décroché le rôle de Drax le destructeur dans la franchise « Les Gardiens de la Galaxie ». Drax : Le maître de la pensée littérale : Drax est rapidement devenu un favori des fans, grâce à son honnêteté directe, ses interprétations erronées hilarantes et sa profondeur étonnamment émotionnelle. Il ne comprend peut-être pas toujours les métaphores ou les signaux sociaux, mais sa loyauté et son engagement inébranlable envers ses amis font de lui un personnage que vous ne pouvez pas vous empêcher de soutenir. Même si Drax est peut-être son rôle le plus emblématique à ce jour, la carrière d’acteur de Bautista est loin d’être terminée. Il a joué dans des films d’action comme « Blade Runner 2049 » et « Army of the Dead », prouvant qu’il peut gérer bien plus que de simples répliques comiques. Et devine quoi? Il n’en a pas fini avec les films de super-héros. Dans une récente interview, Bautista a révélé qu’il était prêt à jouer un méchant à l’avenir. Imaginez-le comme un méchant – ce serait comme avoir Thanos avec le sens de l’humour (et peut-être un peu moins violet). Alors, quelle est la prochaine étape pour Dave Bautista ? Seul le temps nous le dira, mais une chose est sûre : cet ancien lutteur devenu acteur est là pour rester, et il continuera probablement à nous surprendre par son talent, son charisme et sa volonté de relever tous les défis qui se présentent à lui. Source: IndéWire
Gods of the Deep Review : tomber au plus profond de l’abîme de la déception
Peu d’expériences dans la vie provoquent le genre de perplexité ahurissante semblable à celle de regarder Dieux des profondeurs, la dernière aventure de science-fiction de Charlie Steeds. Malgré son potentiel en termes de visuels attrayants et d’histoire convaincante, cette mésaventure sous-marine ne parvient malheureusement pas à impressionner sur tous les fronts. Le mauvais: Le scénario met en scène une équipe de sous-marins en haute mer qui découvre un royaume mystique au cœur de l’océan, réveillant de leur sommeil une ancienne race d’entités. C’est une prémisse intrigante, qui rappelle des œuvres comme celle de Jules Verne. 20 000 lieues sous les mers ou encore le blockbuster de James Cameron Les abysses. Cependant, Dieux des profondeurs ressemble plus à une tragi-comédie, noyée dans un abîme d’intrigues clichées, de performances plates et d’effets spéciaux ternes. Derek Nelson incarne le capitaine impassible, Jim Peters, avec toute la conviction d’un enseignant suppléant du lundi matin. Ses interactions avec les membres de l’équipe semblent robotiques, manquant d’alchimie authentique. On aspire au capitaine Nemo mais on reçoit à la place un commandant de navire insatisfaisant et sans profondeur. Makenna Guyler, dans le rôle de la volontaire Christine Harris, tente de donner un semblant de vie au film, pour ensuite patauger dans l’obscurité d’un scénario épouvantable. Guyler semble essayer de sauver le film en affichant occasionnellement des accès d’émotions authentiques. Malheureusement, ce ne sont que des gouttes dans un océan de scènes fastidieuses. Hank O’Connell de Rory Wilton ressemble à un archétype dépassé d’une époque oubliée, manquant de développement et restant douloureusement statique tout au long. Kane Surry et David Lenik incarnent respectivement Joe Meeker et Cameron, dans des performances tout aussi peu inspirantes, faisant peu pour offrir des moments mémorables ou un développement solide du personnage. Lenik, en particulier, ne semble présenter aucune différence de comportement perceptible par rapport au personnage qu’il a incarné lors de sa précédente collaboration avec Steeds. Plus mauvais Techniquement, le film donne l’impression d’avoir été confiné dans une chambre à pression en mer. Il y a un manque palpable de sophistication visuelle, quelque chose de crucial pour tout film misant sur un monde fantastique et perdu. Le monde submergé promis ne se matérialise jamais de manière convaincante, ce qui rend l’intrigue globale insignifiante. Et où sont la richesse, la grandeur d’un écosystème extraterrestre qu’une civilisation avancée aurait pu développer ? La conception sonore est également remarquablement décevante. Le son interfère souvent avec l’action plutôt que de créer une ambiance glaciale, solitaire et perfide en haute mer. Dans son rythme, Dieux des profondeurs reflète le désespoir d’être abandonné dans un abîme. Les moments qui devraient offrir des tensions se transforment souvent en une routine morne. Cela est en outre entravé par des dialogues qui traînent trop longtemps ou qui font une apparition trop brève. Dieux des profondeursLa mauvaise exécution de pratiquement tous les niveaux fait que le spectateur recherche une histoire récupérable. Ce qui devrait être un voyage passionnant vers un royaume sous-marin inconnu échoue rapidement. Dans l’ensemble: Dieux des profondeurs déçoit massivement. On aurait pu s’attendre à ce que Steeds l’oriente vers des révélations passionnantes et des émerveillements étranges. Steeds perd de vue le rivage et trébuche à travers un rythme fastidieux, des éléments d’intrigue conventionnels et des dialogues clichés. Les derniers titres apportaient une sensation de soulagement, comme au sortir d’un long voyage en haute mer. Malheureusement, Dieux des profondeurs ne possède pas de joyaux bioluminescents comme ceux que l’on trouve dans nos océans. La plus grande déception réside dans le potentiel sous-utilisé. Il y avait ici un océan de possibilités. Gods of the Deep Review : tomber au plus profond de l’abîme de la déception Agissant – 4/10 Cinématographie/Effets visuels – 3/10 Intrigue/Scénario – 2/10 Cadre/Thème – 3/10 Observabilité – 3/10 Re-regardabilité – 1/10
ARTICLE 370 : La véritable histoire de la politique et du terrorisme au Cachemire
Article 370 (2024) : Avec Yami Gautam (à droite) et Priyamani (à gauche) Le Cachemire était autrefois un paradis sur terre. Aujourd’hui, notre génération a peur de visiter ce paradis. Pourquoi? Personne, pas même les plus courageux d’entre les courageux, n’aimerait se faire tirer dessus par un terroriste fou du Jihad ou devenir soudainement victime d’un lavage de cerveau lors d’un voyage de vacances en famille ! Lorsque les cinéastes investissent quelques crores dans la réalisation d’un film et que leur chiffre d’affaires brut atteint plusieurs centaines de crores, c’est à ce moment-là que ce film acquiert le statut de « film public ». C’est alors que vous pourrez qualifier ce film de super hit ! Demandez aux créateurs de « URI » et de « The Kashmir Files ». Les films antiterroristes sont à la mode en Inde et, de ce même genre antiterroriste, vient « Article 370 », du scénariste et réalisateur primé Aditya Suhas Jambhale. Avec Yami Gautam et Priyamani, le film passionnant a fait ses débuts en salles le 23 février 2024. L’histoire de l’article 370 racontée par Ajay Devgn : comment le Pakistan a occupé illégalement une partie du Cachemire après l’indépendance L’article 370 est appelé à entrer dans l’histoire du cinéma indien après URI et The Kashmir Files. L’histoire est dépeinte du point de vue d’une femme cachemirienne qui veut détruire les démons qui envahissent ce « paradis » en Inde. Qui sont ces démons ? Les terroristes djihadistes ou les manifestants soumis au lavage de cerveau qui jettent des pierres sur des innocents au Cachemire. Non! Ce ne sont que des marionnettes aux mains de vrais démons, de certains politiciens puissants et corrompus qui les soutiennent et les dirigent. La révolution commence : le pauvre Ka Poora KASHMIR BHARAT faisait partie du pays, HAIN et RESTE ! Dans l’URI, c’était Vicky Kaushal qui éradiquait les terroristes au Cachemire occupé par le Pakistan (POK), une véritable opération chirurgicale menée par l’Inde au POK où des commandos indiens sont entrés et ont détruit tous les terroristes cachés dans la région. Désormais, Yami Gautam prend la tête de l’article 370 du Jambhale en tant qu’agent secret destiné à maîtriser le terrorisme au Cachemire. Restez à l’écoute, lecteurs, car c’est aussi une histoire vraie comme URI ! L’Inde, de temps à autre, s’est attaquée à des terroristes brutaux et parasites qui ont envahi et ravagé le Cachemire. Article 370 (2024) Bande-annonce officielle : Le bon: Dans la mythologie hindoue, les dieux utilisaient des armes divines pour détruire les puissants démons qui tentaient d’envahir le ciel. Mais nous, le peuple indien, disposons d’une arme divine capable de vaincre toute forme d’acte démoniaque comme le terrorisme dans notre patrie. Cette arme divine est notre Constitution indienne. Cependant, le problème de l’article 370 réside dans le fait que l’ordre public et les hommes politiques puissants soutiennent et sauvent le terrorisme au Cachemire. Encore une fois, dans la mythologie hindoue, je vais vous raconter l’histoire d’un démon immortel connu sous le nom de « Raktbeej ». Raktbeej pouvait générer ses clones à partir de ses gouttes de sang tombées au sol. Cela le rendait invincible et aucun Dieu ne pouvait le vaincre ou le tuer. Chaque fois qu’un Dieu essayait de tuer Raktbeej, il se régénérait en plusieurs clones. Ainsi, plus ils tuaient, plus de clones de Raktbeej émergeaient ! C’est à ce moment-là que la déesse Kaali a pris forme et a bu tout son sang. Aucun sang dans son corps n’a laissé Raktbeej incapable de régénérer ses clones. La déesse Kaali a également détruit tous les clones restants de Raktbeej en buvant leur sang. Cette stratégie de la déesse Kaali a mis fin au démon. Dans l’article 370, le terrorisme et les politiciens corrompus désignent le démon Raktbeej, et le personnage féminin casse-cou de Yami Gautam signifie la déesse Kaali. Mais à Kaliyug, une seule déesse ne peut vaincre un démon aussi gigantesque que le terrorisme. Nous avons donc Yami Gautam et Priyamani, qui agissent comme deux puissantes déesses pour vaincre ce mal. Le meilleur, c’est qu’il n’y a pas de héros dans ce film et contrairement aux autres films de Bollywood, les femmes prennent ici le devant de la scène. Ils ne sont plus des pièces maîtresses décoratives pour les héros à romancer. Elles ont leurs propres super pouvoirs et c’est ce que vous appelez la véritable autonomisation des femmes ! Yami a donné une performance incroyablement puissante en tant qu’agent secret audacieux donnant aux terroristes du Cachemire un coup massif de poing de femme. Sa performance remarquable peut vous donner la chair de poule si vous êtes un vrai patriote. Dans une scène, elle explique la situation terroriste qui sévit au Cachemire. Que l’article 370 doive être abrogé de la Constitution indienne ou non, vous obtiendrez la réponse à cette question en regardant son regard une fois que vous aurez regardé ce thriller mystérieux. Yami Gautam dans une séquence d’action avec une arme à feu sur les plateaux de tournage de l’Article 370 Je dois également apprécier les efforts de Jambhale pour faire de l’Article 370 une expérience cinématographique divertissante plutôt qu’un cours d’histoire. Les présentations de films présentant l’histoire de l’Inde peuvent être difficiles et si elles ne sont pas présentées correctement, elles peuvent s’avérer plutôt ennuyeuses ! Mais ce n’est pas le cas de l’article 370. Je dois dire qu’après de nombreuses années, j’ai regardé un film aussi intéressant qu’audacieux dans lequel les cinéastes montraient la politique côtoyant le terrorisme. Bref, ils n’ont rien voulu cacher de cette histoire vraie et cela mérite d’être apprécié. Un film passionnant qui, selon mes mots, est plus réel que la réalité ! La politique avec le terrorisme ! Le récit unique du film a été mélangé à des visuels énigmatiques et convaincants, un suspense époustouflant, des émotions authentiques et une action passionnante. Il a été présenté de manière très intelligente, dans la mesure où nous pouvons voir les conflits parlementaires se dérouler parallèlement au terrorisme. Le mauvais: Le seul reproche que j’ai