Commentaires 7 juin 2024 19 minutes de lecture Du producteur M. Night Shyamalan vient « The Watchers », écrit pour le cinéma et réalisé par Ishana Night Shyamalan et basé sur le roman d’AM Shine. Le film suit Mina, une artiste de 28 ans, bloquée dans une vaste forêt intacte de l’ouest de l’Irlande. Lorsque Mina trouve refuge, elle se retrouve sans le savoir piégée aux côtés de trois étrangers qui sont surveillés et traqués par des créatures mystérieuses chaque nuit. Vous ne pouvez pas les voir, mais ils voient tout. La bande-annonce des observateurs Le bon L’une des caractéristiques les plus remarquables de Les observateurs est sa narration captivante. L’intrigue engage constamment le public du début à la fin, chaque acte introduisant de nouvelles dynamiques qui repoussent les limites narratives. L’histoire est construite de manière à accroître les enjeux à chaque scène, garantissant que les téléspectateurs restent investis tout au long. L’exposition est particulièrement bien menée, décrivant clairement les règles régissant les personnages et les énigmatiques Watchers. Cette clarté crée une tension persistante, surtout lorsque les personnages s’approchent des limites de ces règles. Par exemple, lorsqu’un personnage s’aventure dans une zone interdite de la forêt, cela intensifie l’intrigue et l’anticipation. Le troisième acte offre une fin créative et bien exécutée qui évite les spoilers mais offre une conclusion satisfaisante à l’histoire. Un élément souvent négligé mais crucial dans Les observateurs est son utilisation du son – ou son absence stratégique. Le silence devient un outil puissant pour créer du suspense et de la peur. Un moment particulièrement effrayant se produit lorsque Mina place son visage contre un miroir sans tain dans un silence complet, permettant à l’imagination du public de se déchaîner avec la peur anticipée. La réalisatrice Ishana Shyamalan manipule habilement le son pour amplifier les effets de « bosse dans la nuit » lors des scènes de forêt, renforçant ainsi l’atmosphère étrange. De plus, la décision de Shyamalan de retarder la révélation des Watchers ajoute à la tension du film. En ne montrant que des ombres et des silhouettes pendant une grande partie du film, elle permet à l’imagination des spectateurs de combler les lacunes, rendant la révélation finale encore plus percutante. Dans l’ensemble, les performances d’acteur dans The Watchers sont louables. Dakota Fanning offre une solide performance dans le rôle de Mina, servant de moyen crédible permettant au public de découvrir la terreur de la forêt. Son portrait capture efficacement la peur et la détermination de son personnage. Les acteurs secondaires contribuent également de manière significative, chacun ajoutant de la profondeur et des nuances à l’histoire, ce qui améliore l’expérience visuelle globale. Le mauvais Bien que l’intrigue soit engageante, certains éléments peuvent paraître prévisibles. Pour les spectateurs attentifs, les rebondissements du film peuvent être faciles à prévoir, diminuant potentiellement l’impact du point culminant. Cependant, une expérience visuelle plus décontractée pourrait atténuer ce problème. Il y a un moment dans le deuxième acte où un personnage subit un changement soudain de motivation qui semble à la fois artificiel et trop pratique. Ce changement de personnage précipité semble conçu pour créer un drame supplémentaire plutôt que de découler organiquement de l’histoire. De plus, même si le film explique bien les règles de la forêt, ces règles pourraient bénéficier d’un développement ultérieur pour améliorer leur crédibilité et leur profondeur. Le verdict Les observateurs est un film captivant, rempli de sensations fortes et ancré dans une narration forte. Les débuts en tant que réalisatrice d’Ishana Shyamalan sont solides, démontrant son potentiel pour un avenir brillant dans l’industrie cinématographique. Les observateurs excelle dans sa narration et son utilisation du son pour créer du suspense, même s’il tombe parfois dans la prévisibilité et présente certaines motivations de personnages qui semblent forcées. Malgré ces défauts mineurs, le film réussit à captiver et à divertir, ce qui en fait une montre recommandée pour les fans du genre. Les observateurs tient la promesse de sa bande-annonce, combinant des éléments rappelant le film d’horreur La descente (2005) et la série télévisée d’horreur Depuis (sur MGM+). Même si le film n’est peut-être pas un incontournable pour tous, il offre certainement une expérience intéressante à ceux qui recherchent quelque chose d’intrigant à regarder en salles. Vérifier Les observateurs lorsque vous avez la chance de vivre une expérience cinématographique unique et effrayante. Directeur: Ishana Nuit ShyamalanÉcrivains): Ishana Nuit ShyamalanÉtoiles: Dakota Fanning, Georgina Campbell, Oliver Finnegan et Olwen FouereAssurez-vous de suivre les critiques de films d’E-Man sur Facebook, de vous abonner sur YouTube ou de me suivre sur Twitter/IG @EmansReviews pour encore plus d’actualités et de critiques de films ! The Watchers Review : Un début passionnant pour Ishana Night Shyamalan Agissant – 7/10 Cinématographie/Effets visuels – 7/10 Intrigue/Scénario – 7/10 Cadre/Thème – 7/10 Observabilité – 7/10 Re-regardabilité – 7/10 Avis d’utilisateur 0 (0 voix)
La revue des zones d’intérêt : le retour passionnant de Jonathan Glazer
La zone d’intérêt, écrit et réalisé par Jonathan Glazer, est une juxtaposition troublante de vie domestique banale et de génocide de masse effrayant, le tout niché ensemble dans le paysage terrifiant du camp de concentration d’Auschwitz pendant la Seconde Guerre mondiale. Librement basé sur le roman du même nom de Martin Amis de 2014, il s’agit d’un drame historique stimulant mettant en valeur les performances louables de Christian Friedel et Sandra Hüller dans les rôles principaux. Le bon Christian Friedel se met dans la peau déchirante de Rudolf Höss, le tristement célèbre commandant d’Auschwitz. Avec une finesse étrange, Friedel humanise Höss, créant un portrait horrifiant de l’homme. Nous voyons ici un homme dont le métier nécessite une participation occasionnelle à un crime impensable contre l’humanité. Malgré cela, il conserve une mesure de relativité effrayante. De l’autre côté, Sandra Hüller dresse un portrait fascinant et tragique d’Hedwig Höss. Hüller donne vie à la lutte éthique d’Hedwige, aux prises avec la culpabilité et la dissonance cognitive. Malgré son contexte historique douloureux, Glazer construit un film qui retient le regard du public et exige un engagement, une corde raide délicate qui est négociée sans banaliser ni minimiser l’histoire monstrueuse qui entoure le récit. Cependant, certains contenus graphiques du film peuvent être assez dérangeants pour certains téléspectateurs. Sur le plan cinématographique, Glazer collabore avec le directeur de la photographie Łukasz Żal pour manifester visuellement la dualité troublante présente dans la situation de la famille Höss. Le mauvais Une critique potentielle de La zone d’intérêt est que la prémisse se rapproche dangereusement de l’exploration du thème de la « banalité du mal ». Certains publics pourraient l’interpréter comme trop empathique envers la famille nazie, malgré la performance nuancée de Friedel et Hüller. Bien qu’il soit clair que l’intention de Glazer n’est pas de susciter de la sympathie, mais de disséquer l’incongruité de la vie ordinaire à côté d’un camp d’extermination, ce film pourrait être plus que déstabilisant pour certains publics. De plus, le développement du personnage de Rudolf Höss de Friedel pourrait paraître monochromatique et trop simpliste. Dans les efforts visant à juxtaposer la normalité de la famille à son environnement insondable, la dichotomie complexe de la personnalité de Höss ne semble pas avoir été explorée à fond. Dans l’ensemble La zone d’intérêt réussit sur le plan technique. La scénographie et la palette sourde insufflent un étrange sentiment de normalité ponctué de crises d’effroi et de tension. La zone d’intérêt est un film profondément troublant mais important qui poussera le public hors de sa zone de confort. Cela est dû à sa représentation des atrocités indescriptibles et de la vie domestique effrayante de la Seconde Guerre mondiale. Jonathan Glazer livre un film puissant, inconfortable et moralement complexe. Il s’agit d’un visionnement essentiel, d’un rappel stimulant de la profondeur de la méchanceté humaine et de la nécessité d’une réflexion historique continue. La zone d’intérêt se distingue comme une montre robuste mais mémorable en raison de ses performances engagées et de son excellence technique. Le film nous invite à revisiter un moment historique important et pose des questions critiques sur la responsabilité humaine. La zone d’intérêt Agissant – 8,5/10 Cinématographie/Effets visuels – 9/10 Intrigue/Scénario – 8/10 Cadre/Thème – 8/10 Observabilité – 8/10 Re-regardabilité – 6,5/10