Celui de Leigh Whannell Homme-loup réinvente le classique de 1941 avec une touche viscérale et moderne qui mêle enjeux émotionnels bruts et terreur atmosphérique. Ancré par les performances stellaires de Christopher Abbott, Julia Garner et Matilda Firth, le film explore les thèmes de la rage héritée, des liens familiaux et des instincts primitifs qui se cachent sous la civilité humaine. Bien qu’il ne réinvente pas entièrement le mythe du loup-garou, il propose suffisamment de nouvelles prises et de séquences captivantes pour en faire un ajout convaincant au genre. Une prémisse effrayante fondée sur des tensions familiales : La force du film réside dans son double objectif : la transformation terrifiante de Blake Lovell (Christopher Abbott) en loup-garou et la tension émotionnelle qu’elle exerce sur sa famille. Il ne s’agit pas seulement d’une histoire d’horreur sur un homme qui se transforme en monstre, c’est l’histoire d’une famille qui lutte pour survivre à des menaces externes et internes. Le scénario de Whannell et Corbett Tuck utilise intelligemment la malédiction du loup-garou comme métaphore du traumatisme générationnel et de la colère incontrôlable, ajoutant une couche de profondeur qui l’élève au-delà d’une simple caractéristique de créature. Dès les scènes d’ouverture, la dynamique de la famille Lovell s’établit avec un sens aigu du réalisme. Le caractère instable de Blake et sa relation tendue avec sa femme Charlotte (Julia Garner), une bourreau de travail, ouvrent la voie à un récit chargé d’émotion. Leur fille Ginger (Matilda Firth) ajoute une couche de vulnérabilité et d’enjeux, son innocence contrastant fortement avec le chaos primaire qui se déroule. La mise en scène de Whannell garantit que les battements émotionnels frappent aussi fort que l’horreur, rendant le sort des personnages profondément émouvant. Une horreur tendue et atmosphérique : Whannell prouve une fois de plus qu’il est un maître de la tension. Tout comme son travail sur L’homme invisibleil utilise le suspense et l’ambiance pour garder le public en haleine. La maison de montagne isolée devient un personnage en soi, avec ses sols grinçants, son éclairage tamisé et ses espaces claustrophobes amplifiant le sentiment d’isolement. La conception sonore du film est un autre remarquable, avec des grognements gutturaux, des transformations qui brisent les os et des silences étranges créant une expérience auditive immersive. Les attaques de loups-garous sont brutales et implacables, évitant le camp au profit d’un réalisme réaliste. Whannell ne craint pas l’horreur viscérale du processus de transformation. La métamorphose de Blake est décrite avec des détails atroces, de la chute des dents à la pousse des griffes, faisant ressentir au public chaque once de sa douleur et de sa terreur. Il s’agit d’une vitrine d’horreur corporelle qui rivalise avec certains des meilleurs du genre, rappelant Un loup-garou américain à Londres mais avec une approche plus concrète et plus fondée. Des performances captivantes : Christopher Abbott réalise un tour de force dans le rôle de Blake, capturant la descente du personnage d’un père imparfait mais bien intentionné à une créature consumée par ses instincts primaires. La performance d’Abbott est une classe magistrale en matière de physicalité, alors qu’il contorsionne son corps et transmet l’agonie de la transformation avec une authenticité troublante. Il apporte également une vulnérabilité discrète au rôle, faisant de Blake une figure tragique plutôt qu’un monstre unidimensionnel. Julia Garner associe l’intensité d’Abbott à une performance qui oscille entre force et désespoir. En tant que Charlotte, elle est le point d’ancrage émotionnel du film, décrivant une femme déchirée entre son amour pour son mari et son instinct de protéger son enfant. Le portrait nuancé de Garner garantit que Charlotte ne se sent jamais comme une victime passive, mais plutôt comme un personnage ingénieux et déterminé à part entière. Matilda Firth, dans le rôle de Ginger, offre une performance étonnamment mature, ajoutant un poids émotionnel à la dynamique familiale. Thèmes de l’héritage et de la survie : Thématiquement, Homme-loup explore la notion d’héritage, à la fois génétique et émotionnel. La lutte de Blake avec son caractère reflète celle de son ex-père, établissant un parallèle entre la malédiction du loup-garou et la nature cyclique du traumatisme familial. Le film pose des questions poignantes quant à savoir si l’on peut se libérer de ses pulsions les plus sombres ou s’il est condamné à y succomber. Cette profondeur thématique enrichit le récit, en faisant plus qu’un simple récit de survie. Le scénario explore également le concept d’abnégation et les efforts que l’on pourrait déployer pour protéger ses proches. Ces thèmes résonnent tout au long du film, culminant dans une finale poignante qui persiste longtemps après le générique. Défauts d’exécution : Malgré ses atouts, Homme-loup n’est pas sans défauts. Le rythme faiblit parfois, en particulier dans le deuxième acte, où le film s’appuie fortement sur la transformation de Blake au détriment de l’avancement de l’intrigue. Si l’horreur corporelle est indéniablement efficace, elle semble parfois répétitive, étirant des séquences qui auraient pu être plus succinctes. De plus, le recours du film aux tropes familiers des loups-garous, tels que la pleine lune et la vulnérabilité de la créature à l’argent, peut parfois le rendre prévisible. Alors que Whannell et Tuck injectent suffisamment d’originalité pour que l’histoire reste captivante, les passionnés du genre pourraient avoir envie de rebondissements plus innovants. Visuels : Les effets pratiques utilisés pour la transformation de Blake sont remarquables, évoquant une réaction viscérale que CGI ne parvient souvent pas à obtenir. La photographie de Stefan Duscio complète à merveille le ton du film. L’utilisation par Duscio de palettes de couleurs sourdes et d’un éclairage dynamique renforce l’atmosphère oppressante, tandis que le travail de la caméra à main levée pendant les séquences d’action ajoute un sentiment d’immédiateté. Dans l’ensemble: En guise de redémarrage, Homme-loup établit un équilibre délicat entre honorer son prédécesseur et tracer sa propre voie. Bien qu’il ne révolutionne pas le genre des loups-garous, il réussit à moderniser l’histoire avec une approche axée sur les personnages et des éléments d’horreur viscéraux. La mise en scène de Leigh Whannell, associée à des performances solides et à une profondeur thématique, garantit que le film laisse une impression durable. Avec
Wolf Man – Chicago – Projection préalable
Aimeriez-vous voir Homme-loup avec Christopher Abbott, Julia Garner, Sam Jaeger et plus encore ? Souhaitez-vous le voir tôt et gratuitement ? Participez pour avoir la chance d’obtenir un laissez-passer gratuit pour la sélection avancée. Les laissez-passer sont attribués selon le principe du premier arrivé, premier servi. Dépêchez-vous de récupérer votre pass avant qu’ils ne soient tous partis. Christopher Abbott dans le rôle de Blake dans Wolf Man, réalisé par Leigh Whannell. Comment entrer dans le Révéler: Lien 1 : Cliquez ici pour participer Détails du tamiseur mardi 14 janvier 19h00 Centre-ville de Chicago À propos de l’Homme-Loup : Blumhouse et le scénariste-réalisateur visionnaire Leigh Whannell créent un nouveau cauchemar de lupin terrifiant avec Homme-loupsuite à leur succès avec le conte de monstres moderne et effrayant L’homme invisible. Christopher Abbott, nominé aux Golden Globes (Les pauvres, ça vient la nuit) incarne Blake, mari et père de San Francisco. Après la disparition de son père et sa mort présumée, Blake hérite de sa maison d’enfance isolée dans la campagne de l’Oregon. Aux prises avec son mariage effiloché avec sa puissante épouse, Charlotte (la gagnante d’un Emmy Julia Garner; Ozark, inventer Anna), Blake la convainc de quitter la ville et de visiter la propriété avec leur jeune fille, Ginger (Matilda Firth ; Hullraisers, Coma). Alors que la famille arrive à la ferme la nuit, un animal invisible les attaque. Désespérément, ils se barricadent à l’intérieur alors que la créature rôde à l’extérieur. Tout au long de la nuit, Blake commence à changer, devenant quelque chose de méconnaissable. Charlotte est confrontée à une décision déchirante : déterminer si la menace à l’intérieur de leur maison est plus mortelle que celle à l’extérieur. Le film présente un casting d’ensemble, dont Sam Jaeger (Le conte de la servante), Ben Prendergast (Le drame audio de séjour), et Benoît Hardie (L’homme invisible). Il présente également Zac Chandler et les stars Beatriz Romilly (Rue Shortland) et Milo Cawthorne (Rue Shortland). Leigh Whannell réalise Homme-loup et co-écrit avec Corbett Tuck. Les projets passés de Whannell avec Blumhouse incluent L’homme invisible, Mise à niveauet Insidieux : Chapitre 3. Jason Blum, fondateur et PDG de Blumhouse, et Ryan Gosling (Le Fall Guy, Lost River) produire le film. Leigh Whannell, Beatriz Sequeira, Mel Turner et Ken Kao sont les producteurs exécutifs. Universal Pictures et Blumhouse présents Homme-loupune production Gosling/Waypoint Entertainment en association avec Cloak & Co. Directeur:Leigh WhannellAuteur(s) : Leigh Whannell, Corbett TuckÉtoiles : Christopher Abbott, Julia Garner et Sam Jaeger, Matilda Firth, Benedict Hardie, Ben Prendergast, Zac Chandler, Beatriz Romilly, Milo CawthorneHomme-loup en salles le 17 janvier 2025. Assurez-vous de suivre les critiques de films d’E-Man sur Facebook, de vous abonner sur YouTube ou de me suivre sur Twitter/IG @EmansReviews pour encore plus d’actualités et de critiques de films !
Glen Powell joue un faux tueur à gages dans “Hit Man”
Richard Linklater, de ManAustin, et Netflix ont projeté son dernier film, « Hit Man », devant un public bondé le mercredi 15 mai au Paramount Theatre du centre-ville d’Austin. Glen Powell joue un faux tueur à gages dans le film. Avant la projection de la comédie/film noir, le principal et co-scénariste Glen Powell a été intronisé au Texas Hall of Fame, créé en 2001 par Linklater pour honorer les natifs du Texas qui excellent dans le monde du cinéma. Powell est né et a fait ses études à Austin, au Texas. Le film sur le tueur à gages réel était un délice. Hit Man sera diffusé sur Netflix après une sortie en salles le 7 juin 2024. Il sera présenté à la chaîne Alamo Drafthouse à Austin ; le film d’une heure et 55 minutes vaut bien votre temps. Il est basé sur une histoire vraie, mais il est vrai que l’intrigue a pris une certaine liberté poétique. Il y avait vraiment un Gary Johnson. Johnson a été présenté par Skip Hollandsworth dans le magazine « Texas Monthly ». Johnson était un professeur d’université et un technicien devenu taupe pour le service de police de la Nouvelle-Orléans. Linklater, qui a connu l’homme de son vivant, l’a décrit comme « le mec le plus cool de tous les temps ». Le film a été tourné à la Nouvelle-Orléans. Des panneaux de rue avec Piété/Plaisir en gros plans ajoutent un humour subtil à l’intrigue. LA PARCELLE Glen Powell, co-scénariste et star de « Hit Man », sur scène au Paramount Theatre d’Austin, Texas, le 15 mai 2024. Le synopsis sur IMDB décrit l’intrigue de cette façon: “Un professeur travaillant au noir comme tueur à gages pour le service de police de sa ville s’enfonce dans un territoire dangereux et douteux lorsqu’il se retrouve attiré par une femme qui fait appel à ses services.” Cela m’a rappelé “BlacKkKlansman”, où étaient explorés les exploits réels de Ron Stallworth en tant qu’homme noir ayant rejoint le Ku Klux Klan. La différence de ton entre les deux films est cependant grande. C’est une bonne nouvelle pour le public. Celui-ci est une comédie/film noir loufoque avec une intrigue originale et un excellent jeu d’acteur de Powell, co-star Adria Arjona (“Le père de la mariée”), et Retta (“Bonnes filles”). Musique, cinématographie, costumes, jeu d’acteur : tous sont uniformément excellents. Le scénario, co-écrit par Linklater et Powell, a été élaboré lors d’appels téléphoniques pendant Covid. Il a été présenté pour la première fois au festival du film italien en septembre, pendant la grève des écrivains, ce qui signifie que Linklater est apparu quasiment en solo. Puisque le personnage principal, Gary Johnson, est professeur d’université, nous obtenons une profondeur de pensée inhabituelle sur la vie et « le mystère éternel de la conscience et du comportement humains ». Le personnage de Powell dit : « J’avais le don d’être la personne qu’ils avaient besoin de moi » à propos de son personnage de tueur à gages Ron qu’il a adopté et dit : « J’avais d’une manière ou d’une autre trouvé ma scène. » Le talentueux (et beau) Powell, vu dans la comédie « Anyone But You » ainsi que « Top Gun : Maverick » (2022), travaille à une carrière hollywoodienne depuis l’âge de 14 ans, lorsqu’il est apparu dans « Spy Kids 3D : Game Over ». Ses remarques avant le film révèlent un natif d’Austin qui aime le Texas et adore faire des films. (“Le travail le plus amusant de la planète.”) LE SCRIPT Retta à la projection de « Hit Man » à Austin le 15 mai 2024. Le duo de scénaristes (Linklater et Powell) j’ai passé un bon moment à écrire le scénario pendant Covid (principalement par téléphone). Les acteurs ont contribué en improvisant certaines des meilleures répliques restées dans le film. Co-star Sanjay Rao (Phil) a dit sa phrase préférée (de Retta) qui est restée dans le film final était sa remarque selon laquelle elle «arracherait mon stérilet pour Ron», le personnage cool incarné par Gary Johnson. (Cette phrase a fait rire la foule). Il n’est pas fréquent que nous ayons une discussion philosophique sur la différence entre les gens avec des chats et ceux avec des chiens dans un film sur un faux tueur à gages. « Les chiens sont trop nécessiteux. Ils sont comme des gens. Nous demandons plus… nous embarrassons pour les restes des autres. Une autre phrase qui m’a amusé était la remarque selon laquelle un homme assis seul, lisant Receveur de seigle n’est « historiquement parlant jamais un bon signe ». La profondeur des discussions sur le changement et le jeu de rôle, l’Id contre l’Ego et la moralité est inhabituelle pour une comédie (sur un faux tueur à gages) que nous pourrions être tentés de qualifier de « légère ». Il EST léger, dans le sens où l’ensemble expert a transformé une intrigue complexe avec beaucoup d’humour mousseux en une exploration de nombreux problèmes plus profonds, l’un étant le changement. Quelques lignes pour illustrer : (De gauche à droite) le réalisateur Richard Linklater, Glen Pwell, Adria Arjoria et Retta. « Votre réalité changera au fil du temps d’une manière que vous ne pouvez même pas imaginer. » « Saisissez l’identité que vous voulez pour vous-même. La vie est courte. Tu dois vivre selon tes propres conditions. Et, dans une réplique qui rappelle celle de Tom Cruise dans Affaire risquée“Parfois, il faut juste faire un pas.” LES SCÈNES DE SEXE Co-star Adria Arjoria de « Hit Man » à Austin le 15 mai 2024. La rédactrice Sandra Adair (wil a visité la classe de Powell quand il était au lycée), après le montage d’une des scènes de sexe les plus torrides du film, a déclaré : “Je pensais que l’écran allait fondre dans la salle de montage !” L’acteur principal du film, âgé de 35 ans, aurait rompu avec sa petite amie mannequin en 2023. Il y a des scènes de sexe tellement bien réalisées et crédibles qu’il est
Monkey Man Review : un début plein d’action de Dev Patel
Homme singe marque les débuts impressionnants en tant que réalisateur de Dev Patel, qui non seulement dirige le film avec confiance, mais également co-écrit et joue dans ce thriller d’action captivant. Face à la riche tapisserie d’une Inde en évolution rapide, le film entremêle les thèmes de la vengeance, de la justice sociale et de la rédemption personnelle dans un récit visuellement époustouflant et émotionnellement résonnant. Le film s’ouvre dans un village forestier en Inde, nous présentant le jeune Kid (Dev Patel) et sa mère Neela, dont les enseignements sur la divinité hindoue Hanuman inspirent la boussole morale de Kid et fournissent un mythe fondateur qui enrichit l’histoire. Lorsque leur village est décimé par les forces corrompues de Baba Shakti et Rana Singh, la tragédie qui en résulte marque Kid à la fois physiquement et psychologiquement, ouvrant la voie à une histoire de vengeance qui s’étend sur des années. Le bon: En transition vers la ville animée de Yatana, le récit change habilement de vitesse, décrivant la vie de Kid comme un combattant masqué par un singe empêtré dans les entrailles criminelles de la ville. Patel livre une performance nuancée, capturant la rage et la douleur de son personnage avec une intensité brute qui fait avancer l’histoire. Ses interactions avec un casting de soutien éclectique, dont Tiger de Sharlto Copley, Alphonso de Pitobash et Alpha de Vipin Sharma, enrichissent le récit, offrant des moments d’humour, de camaraderie et de perspicacité au milieu de l’obscurité ambiante. L’une des plus grandes forces du film réside dans son portrait de la communauté hijra, dirigée par Alpha. Leur inclusion ajoute non seulement de la profondeur au récit, mais met également en lumière un groupe marginalisé rarement représenté dans le cinéma grand public. Les séquences d’entraînement sont magnifiquement chorégraphiées. Ils établissent un équilibre entre le réalisme et l’action stylisée rappelant les exploits des bandes dessinées. La cinématographie du film est un autre aspect remarquable. Des couleurs vibrantes et un travail de caméra dynamique capturent l’énergie de Yatana. La crasse du club de boxe underground à la décadence éclairée au néon des Kings est excellente. Les séquences d’action sont bien exécutées, Patel décrivant de manière convaincante un formidable héros d’action. Le masque de singe symbolise l’alter ego de Kid et son lien avec Hanuman, ajoutant de la profondeur à sa quête de vengeance. Le mauvais: Malheureusement, le rythme semble parfois inégal. En particulier dans la préparation de la confrontation finale, où le récit aurait pu bénéficier d’un montage plus serré. Le film aborde de manière ambitieuse les questions sociales, mais l’exploration semble parfois superficielle. La bataille décisive est un décor visuellement spectaculaire, mêlant action, émotion et symbolisme dans une résolution satisfaisante. Dans l’ensemble: Homme singe est un film audacieux et ambitieux qui marque l’incursion réussie de Dev Patel dans la réalisation. Malgré quelques défauts, les atouts du film l’emportent sur ses faiblesses. Patel a créé un thriller d’action mémorable qui résonne émotionnellement et laisse un impact durable. Homme singe est un témoignage du pouvoir du cinéma à divertir, provoquer la réflexion et inspirer le changement. C’est un ajout remarquable au genre et un début prometteur pour la carrière de réalisateur de Patel. Agissant – 8/10 Cinématographie/Effets visuels – 7,5/10 Intrigue/Scénario – 7,5/10 Cadre/Thème – 7/10 Observabilité – 7/10 Re-regardabilité – 5/10
Monkey Man Review – Pas John Wick mais c’est une bonne chose
Inspiré de la légende deHanumanune icône incarnant la force et le courage,Homme singemet en vedette Patel dans le rôle de Kid, un jeune homme anonyme qui gagne sa vie dans un club de combat clandestin où, nuit après nuit, portant un masque de gorille, il est battu dans le sang par des combattants plus populaires pour de l’argent. Après des années de rage réprimée, Kid découvre un moyen d’infiltrer l’enclave de la sinistre élite de la ville. Alors que le traumatisme de son enfance déborde, ses mains mystérieusement cicatrisées déclenchent une campagne explosive de représailles pour régler ses comptes avec les hommes qui lui ont tout pris. Bande-annonce de Monkey Man : Dès le début, le film vous plonge dans une immense scène de combat. Cela fera monter votre adrénaline et attirera votre attention à coup sûr. Les longs plans avec la chorégraphie des combats sont géniaux, et on peut dire qu’ils y ont mis beaucoup de travail. Cela aide que Dev Patel lui-même soit un artiste martial – et ça se voit ! Il réalise une tonne de ses propres cascades, ce qui ajoute une couche de réalisme à l’action. Fait amusant : il semble même qu’il se soit cassé quelques doigts et orteils pendant le tournage de ce film ! La bataille finale est également un véritable casse-tête. Cela pourrait même vous amener à le comparer à John Wick, d’autant plus que notre héros porte un costume pendant la majeure partie du film. Cependant, ce film va encore plus loin avec la violence. Il y a une scène folle dans un ascenseur (vous le saurez en la voyant) où le héros fait un truc de fou avec un couteau. Disons simplement que le public (moi y compris !) était à bout de souffle ! Le travail de la caméra ajoute également à l’intensité. Parfois, cela devient fragile et vous met en plein milieu de l’action, ce qui donne une impression de super granuleux et brut. En ce qui concerne les performances, Dev Patel brille comme prévu. Je pensais qu’il était bien plus exceptionnel dans les moments les plus calmes. Il communiquerait beaucoup de subtilités avec son personnage sans même dire un mot. En d’autres termes, vous pouvez voir la douleur et le traumatisme que porte son personnage, même lorsqu’il ne parle pas. Oui, ses scènes de combat étaient superbes, mais sa prestation physique fonctionnait même lorsqu’il ne lançait pas de coup de poing. Le film regorge de références culturelles indiennes et de thèmes politiques. Je dois être honnête et dire que certains de ces éléments me sont passés par-dessus la tête. Il y avait aussi des moments où certains personnages avaient des accents très épais qui me faisaient vraiment souhaiter que les sous-titres soient inclus. Pour être clair, ce n’est pas vraiment un point négatif contre Monkey Man. D’un côté, on pourrait dire qu’un film doit, dans une certaine mesure, s’adresser à son public. D’un autre côté, un film ne devrait pas avoir à compromettre sa propre authenticité pour le bien de tous les spectateurs. Parfois, il n’est pas vraiment nécessaire de se tenir la main. Cette critique est donc avant tout personnelle, et non pas un coup dur porté au film lui-même. Néanmoins, l’histoire principale de la vengeance est facile à suivre. Cela pourrait constituer un défi pour certains spectateurs peu familiers avec la culture indienne, mais cela ajoute également une couche d’authenticité au film. HOMME SINGE Il y avait un autre problème : le rythme du deuxième acte. Cela traîne un peu et l’élan créé depuis le début du film est presque entièrement diminué. Il y a eu des moments où je me suis demandé quand aurait lieu la prochaine scène de combat. Malgré les barrières culturelles et quelques problèmes de rythme, Monkey Man est un solide film d’action. Les scènes de combat sont incroyables et Dev Patel se révèle être un réalisateur talentueux. Ne vous attendez pas à une action non-stop comme John Wick. Le marketing en fait la promotion d’un thriller d’action non-stop, mais ce n’est pas le « John Wick indien » que certains pourraient penser. Monkey Man a de grands moments de John Wick, mais c’est aussi une histoire d’oppression, de vengeance et de justice sociale radicale. Vous ne serez pas déçu par au moins deux confrontations majeures. Ce film m’a fait réfléchir à ce que doit être le public international qui regarde des films américains. Ils ne comprennent peut-être pas toujours toutes les références culturelles, mais s’il y a de l’action formidable et une histoire claire du bien contre le mal, c’est parfois tout ce dont vous avez vraiment besoin. Assurez-vous de le découvrir dans les cinémas près de chez vous. Directeur: Dev PatelÉcrivains: Dev PatelÉtoiles: Dev Patel, Sharlto Copley, Pitobash, Vipin Sharma, Sikandar Kher, Sobhita Dhulipala, Ashwini Kalsekar, Adithi Kalkunte, Makarand DeshpandeHomme singe est actuellement en salles. Assurez-vous de suivre les critiques de films d’E-Man sur Facebook, de vous abonner sur YouTube ou de me suivre sur Twitter/IG @EmansReviews pour encore plus d’actualités et de critiques de films ! Examen de l’homme-singe Agissant – 7,5/10 Cinématographie/Effets visuels – 7/10 Intrigue/Scénario – 6,5/10 Cadre/Thème – 7/10 Observabilité – 9/10 Re-regardabilité – 8/10
Chicago – Concours de projection avancée Monkey Man
Souhaitez-vous voir Homme singe avec Dev Patel et Sharlto Copley ? Souhaitez-vous le voir tôt et gratuitement ? Participez pour avoir la chance d’obtenir un laissez-passer gratuit pour la sélection avancée. Les laissez-passer sont attribués selon le principe du premier arrivé, premier servi. Assurez-vous de vous dépêcher et de récupérer votre laissez-passer avant qu’ils ne soient tous partis. MONKEY MAN, réalisé par Dev Patel Comment entrer dans le Révéler: Cliquez ici pour participer Détails du tamiseur Centre-ville de Chicagomercredi 3 avril19H00 À propos de L’Homme Singe: Dev Patel (Lion, Slumdog Millionaire), nominé aux Oscar®, réalise un premier tour de force étonnant en tant que réalisateur avec un thriller d’action sur la quête de vengeance d’un homme contre les dirigeants corrompus qui ont assassiné sa mère et continuent de victimiser systématiquement les pauvres et les impuissants. . Inspiré par la légende de Hanuman, une icône incarnant la force et le courage, Monkey Man met en vedette Patel dans le rôle de Kid, un jeune homme anonyme qui gagne sa vie dans un club de combat clandestin où, nuit après nuit, portant un masque de gorille, il est battu. sanglants par des combattants plus populaires contre de l’argent. Après des années de rage réprimée, Kid découvre un moyen d’infiltrer l’enclave de la sinistre élite de la ville. Alors que le traumatisme de son enfance déborde, ses mains mystérieusement cicatrisées déclenchent une campagne explosive de représailles pour régler ses comptes avec les hommes qui lui ont tout pris. Rempli de scènes de combat et de poursuite palpitantes et spectaculaires, Monkey Man est réalisé par Dev Patel à partir de son histoire originale et de son scénario avec Paul Angunawela et John Collee (Master and Commander : The Far Side of the World). Monkey Man est produit par Dev Patel, Jomon Thomas (Hotel Mumbai, The Man Who Knew Infinity), Jordan Peele, lauréat d’un Oscar® (Nope, Get Out), Win Rosenfeld (Candyman, série Hunters), Ian Cooper (Nope, Us), Basil Iwanyk (franchise John Wick, films Sicario), Erica Lee (franchise John Wick, Silent Night), Christine Haebler (Shut In, Bones of Crows) et Anjay Nagpal (producteur exécutif de Bombshell, Greyhound). Bande-annonce de l’Homme Singe: Directeur: Dev PatelÉcrivains): Dev PatelÉtoiles: Dev Patel, Sharlto Copley, Pitobash, Vipin Sharma, Sikandar Kher, Sobhita Dhulipala, Ashwini Kalsekar, Adithi Kalkunte, Makarand DeshpandeHomme singe arrive en salles le 5 avril 2024. Assurez-vous de suivre les critiques de films d’E-Man sur Facebook, abonnez-vous sur YouTube ou suivez-moi sur Twitter/IG @EmansReviews pour encore plus d’actualités et de critiques de films !
Dev Patel l’écrase au SXSW avec “Monkey Man”
Gardez votre pop-corn car SXSW vient de recevoir une sérieuse dose d’adrénaline ! Nous parlons de la première mondiale de « Monkey Man SXSW », le premier film de nul autre que Dev Patel, le mec qui a volé nos cœurs dans « Slumdog Millionaire ». Et laissez-moi vous dire que ce n’est pas le film de bien-être de votre maman. Patel ne se contente pas de réaliser et de produire « Monkey Man », il est aussi la star, et disons simplement qu’il se déchaîne comme si de rien n’était ! Le film lui-même ? Une montagne russe brutale et émotionnelle sur un gars nommé Kid cherchant à se venger de la mort de sa mère. Pensez aux ruelles sombres, aux bagarres sanglantes et à tout un tas de courage. Et devine quoi? Le Paramount Theatre d’Austin est devenu absolument fou (jeu de mots) pour cela ! La foule était si déchaînée qu’elle a pratiquement ovationné Patel. Oui, tu as bien entendu. Debout. Ovation. Pour un réalisateur débutant ! Mais voilà : ce film n’est pas né avec une cuillère en argent. Apparemment, Patel a versé son sang, sa sueur et probablement quelques larmes pour le réaliser. Il a même plaisanté en disant que les internautes se demandaient s’il avait disparu de la surface de la Terre ! Eh bien, considérez-le de retour et plus méchant que jamais. Voici le scoop sur le parcours du film, directement de la bouche de Patel : tourné dans le plus grand bidonville d’Inde, Covid a mis un frein majeur aux travaux, et tout ce qui pouvait mal tourner, eh bien, a mal tourné. Mais alors, entrez le super-héros Jordan Peele ! Oui, le génie comique derrière « Get Out » a vu le potentiel de « Monkey Man » et est intervenu comme un sauveur du cinéma. Peele a même changé de studio pour aider à projeter ce film sur grand écran ! En parlant d’inspiration, Patel a eu envie de films d’action après avoir regardé des films de Bruce Lee lorsqu’il était enfant. Il voulait créer quelque chose de brut, quelque chose de réel, quelque chose qui montre les luttes et les triomphes des opprimés. Et c’est exactement ce que propose « Monkey Man ». Patel lui-même ? Il décrit le protagoniste du film, Kid, comme quelqu’un qui « n’a pas de boutade pour chaque scénario, n’est pas le plus gros mec de la pièce et n’a pas l’air de gagner ». Semble familier? C’est parce que Patel lui-même s’est probablement senti plus d’une fois comme cet outsider. Mais voici la beauté de « Monkey Man » : c’est une histoire sur le dépassement de ces sentiments, sur la recherche de force dans des endroits inattendus et sur le pouvoir de l’unité. De plus, il y a des séquences d’action vraiment époustouflantes qui vous tiendront sur le bord de votre siège. Oh, et ai-je mentionné que Patel est devenu une figurine humaine pendant le tournage ? Il s’est cassé le pied deux semaines avant le tournage, puis s’est cassé la main pendant le tournage (on peut même voir le bandage dans le film !). Parlez de dévouement! Alors, quel est le verdict ? “Monkey Man” est un incontournable pour tous ceux qui aiment l’action, le drame et les bonnes histoires d’outsider. De plus, voir Dev Patel donner un coup de pied à l’écran ? Cela vaut le prix d’entrée. Marquez vos calendriers pour le 5 avril car ce film sort en salles et ça va être un coup de grâce ! Source : Date limite