Vous recherchez un film qui vous épatera avec ses séquences d’action, puis vous confondra avec son histoire et vous laissera avec un “attendez, quoi?” ressenti à la fin ? Ne cherchez pas plus loin que cette critique de Boy Kills World. Ce film plein d’action mettant en vedette Bill Skarsgård est à parts égales Deadpool, Kill Bill et un rêve fébrile. Le film vous plonge directement dans le grand bain. On nous présente « The Culling », une purge annuelle où les gens sont choisis au hasard pour être… enfin, éliminés. C’est un système foiré, mais bon, c’est le monde auquel nous avons affaire. Entrez Boy (Skarsgård), un jeune homme muet et sourd élevé par un mystérieux chaman (Yayan Ruhian) qui semble étrangement familier (pensez à « The Raid »). Les méthodes de formation de Shaman sont… non conventionnelles, c’est le moins qu’on puisse dire. Le film ne perd pas de temps à expliquer pourquoi Shaman entraîne Boy, il vous plonge simplement dans cette étrange dynamique élève-enseignant avec de lourdes vibrations Star Wars. Nous voyons Boy éviter tout, du shuriken aux râpes à fromage (sérieusement, cette scène de combat en cuisine vous fera peur à vie). Un casting de personnages hauts en couleur (et quelques moments WTF) Sharlto Copley vole la vedette (sérieusement, est-ce même lui ?) en tant que méchant qui canalise à la fois Christian Bale et Michael Scott de « The Office ». Ensuite, il y a le mystérieux motard à la Kill Bill avec un faible pour les enfants (Famke Janssen) et l’hallucination omniprésente de Boy à propos de sa sœur décédée. Ouais, ce film n’a pas peur du bizarre. La chorégraphie de combat est fantastique, avec une bonne dose de gore qui rendrait Sam Raimi fier. Il y a un sentiment constant de danger et le voyage de Boy pour se venger est brutal et sanglant. Cependant, le film n’est pas parfait. Le rythme traîne un peu dans le deuxième acte, et le monologue intérieur constant de la voix intérieure de Boy (exprimé par H. Jon Benjamin) devient fastidieux. Il y a aussi des trous dans l’intrigue dans lesquels vous pourriez conduire un camion, comme l’étrange décision de rendre un personnage complètement inintelligible. Un rebondissement que vous ne verrez pas venir (et une histoire d’origine choquante) Juste au moment où vous pensez avoir compris le film, cela vous apporte une énorme tournure. Disons simplement qu’il y a beaucoup de drames familiaux et que Shaman n’est peut-être pas le bon gars que vous pensiez qu’il était. Cette révélation, associée à une scène de combat de couloir époustouflante (sérieusement, ce film est candidat à la meilleure scène de couloir de 2024 !), fait que la fin en vaut vraiment la peine. “Boy Kills World” est une aventure folle du début à la fin. C’est un film que vous regardez pour les séquences d’action insensées, les moments WTF et l’audace de tout cela. Ne vous attendez pas à une histoire profonde et significative. Il s’agit d’un divertissement pur et pur, parfait pour les fans de films de bandes dessinées et tous ceux qui veulent voir Bill Skarsgård devenir un héros d’action à part entière (avec une touche de rage muette). Les origines de Boy Kills World “Boy Kills World” est le premier film de Moritz Mohr. Le film a été annoncé pour la première fois en 2019, avec la signature de Skarsgård peu de temps après. Le scénario, basé sur un roman graphique inédit, a été salué pour son humour noir et sa violence excessive. Le tournage a eu lieu en Afrique du Sud en 2022 et le film est finalement sorti en avril 2024. Boy Kills World : un voyage époustouflant et ultra-violent (Critique) Agissant – 6/10 Cinématographie/Effets visuels – 8/10 Intrigue/Scénario – 6/10 Cadre/Thème – 7/10 Observabilité – 8/10 Re-regardabilité – 7/10
Boy Kills World Reaction : action époustouflante ou désordre époustouflant ?
Je viens de voir le film d’action hallucinant “Boy Kills World” et je dois décharger ma réaction avant que mon cerveau n’explose. Ce film? Ce film n’est PAS ce à quoi je m’attendais. À. Tous. Bien sûr, avec Sam Raimi à la production, vous savez qu’il y aura du sang, du sang et de l’action si sauvage que cela vous fera tourner la tête. Les bandes-annonces le faisaient également allusion. Mais ça? C’est un tout autre niveau. Pensez que Deadpool rencontre Kill Bill, lance un assassin muet avec une sérieuse séquence de vengeance, et c’est Boy Kills World. Laissez-moi vous dire que c’est une course folle. Les scènes d’action ? Feu pur. Surtout le revers final. Vous marmonnerez « qu’est-ce que… » tout le temps, mais dans le bon sens. Ce film rejoint la conversation sur la « plus grande scène de combat dans les couloirs », pour de vrai. Ils parviennent même à y apporter une petite touche pour garder les choses fraîches. Pensées initiales La chorégraphie du combat ? Une victoire majeure. Ce ne sont pas seulement vos fêtes typiques de sieste de héros qui battent les méchants. Parfois, notre garçon se fait botter les fesses ! Il y a des moments où vous jurerez qu’il ne devrait même pas être debout, mais il creuse profondément et y parvient. Ambiance classique de Jackie Chan, tu vois ce que je veux dire ? Maintenant, le rythme ? Un peu partout. L’histoire prend des tournures étranges, et il y a un tas de choses qui ne sont tout simplement pas expliquées. Laissé en suspens, tu sais ? Mais voici le problème : la fin. Cela répare un peu tout. Sérieusement, restez dans les parages pour le générique. Ils lient les choses d’une manière qui fait que toute l’étrangeté en vaut la peine. Alors, Verdict final ? “Boy Kills World” est dingue. Des dingues cool, déroutants et pleins d’action. Bien que je puisse recommander de le regarder en streaming plutôt qu’au théâtre, de toute façon, vous vous lancez dans une course folle. Regardez ma vidéo ci-dessus pour une plongée plus approfondie dans ce film fou ! N’oubliez pas d’aimer, de commenter et de vous abonner pour plus de discussions vidéo ! Site officiel de Boy Kills World