Skip to content
IPTV QUEBEC
  • Accueil
  • Prix
  • IPTV
  • Blog
  • Contact
Aaron Rodgers ne sera plus un jet, par Jay Glazer

Aaron Rodgers ne sera plus un jet, par Jay Glazer

Blog

Super Scoopage de Jay Glazer de Fox Sports le dimanche du Super Bowl. L’élite de la NFL Insider a rapporté que les Jets de New York avaient rencontré Aaron Rodgers la semaine dernière et a déclaré au quart-arrière vétéran qu’il n’était pas dans leurs plans qui allaient. Big Scoopage: Aaron Rodgers est retourné au New Jersey la semaine dernière pour rencontrer les Jets sur son avenir avec l’équipe, seulement pour qu’on lui dise que l’équipe allait de lui. Si cela signifie qu’il sera une désignation du 1er juin qui lui permet de signer avec n’importe quelle équipe de la ligue sur… – Jay Glazer (@jayglazer) 9 février 2025 Si Rodgers doit continuer sa carrière dans la NFL, ce sera ailleurs que avec Gang Green. Rodgers avait 5-12 ans alors que les Jets partant le quart-arrière en 2024 après avoir vu l’action en un match et quatre matchs avant de déchirer son Achille en 2023. Il aura 42 ans en décembre, donc toute équipe qui pense à l’atterrissage de Rodgers devra faire face à l’âge facteur et s’il a tout ce qui reste.

9 February 2025 / 0 Comments
read more
The Movie Blog

La revue des zones d’intérêt : le retour passionnant de Jonathan Glazer

Blog

La zone d’intérêt, écrit et réalisé par Jonathan Glazer, est une juxtaposition troublante de vie domestique banale et de génocide de masse effrayant, le tout niché ensemble dans le paysage terrifiant du camp de concentration d’Auschwitz pendant la Seconde Guerre mondiale. Librement basé sur le roman du même nom de Martin Amis de 2014, il s’agit d’un drame historique stimulant mettant en valeur les performances louables de Christian Friedel et Sandra Hüller dans les rôles principaux. Le bon Christian Friedel se met dans la peau déchirante de Rudolf Höss, le tristement célèbre commandant d’Auschwitz. Avec une finesse étrange, Friedel humanise Höss, créant un portrait horrifiant de l’homme. Nous voyons ici un homme dont le métier nécessite une participation occasionnelle à un crime impensable contre l’humanité. Malgré cela, il conserve une mesure de relativité effrayante. De l’autre côté, Sandra Hüller dresse un portrait fascinant et tragique d’Hedwig Höss. Hüller donne vie à la lutte éthique d’Hedwige, aux prises avec la culpabilité et la dissonance cognitive. Malgré son contexte historique douloureux, Glazer construit un film qui retient le regard du public et exige un engagement, une corde raide délicate qui est négociée sans banaliser ni minimiser l’histoire monstrueuse qui entoure le récit. Cependant, certains contenus graphiques du film peuvent être assez dérangeants pour certains téléspectateurs. Sur le plan cinématographique, Glazer collabore avec le directeur de la photographie Łukasz Żal pour manifester visuellement la dualité troublante présente dans la situation de la famille Höss. Le mauvais Une critique potentielle de La zone d’intérêt est que la prémisse se rapproche dangereusement de l’exploration du thème de la « banalité du mal ». Certains publics pourraient l’interpréter comme trop empathique envers la famille nazie, malgré la performance nuancée de Friedel et Hüller. Bien qu’il soit clair que l’intention de Glazer n’est pas de susciter de la sympathie, mais de disséquer l’incongruité de la vie ordinaire à côté d’un camp d’extermination, ce film pourrait être plus que déstabilisant pour certains publics. De plus, le développement du personnage de Rudolf Höss de Friedel pourrait paraître monochromatique et trop simpliste. Dans les efforts visant à juxtaposer la normalité de la famille à son environnement insondable, la dichotomie complexe de la personnalité de Höss ne semble pas avoir été explorée à fond. Dans l’ensemble La zone d’intérêt réussit sur le plan technique. La scénographie et la palette sourde insufflent un étrange sentiment de normalité ponctué de crises d’effroi et de tension. La zone d’intérêt est un film profondément troublant mais important qui poussera le public hors de sa zone de confort. Cela est dû à sa représentation des atrocités indescriptibles et de la vie domestique effrayante de la Seconde Guerre mondiale. Jonathan Glazer livre un film puissant, inconfortable et moralement complexe. Il s’agit d’un visionnement essentiel, d’un rappel stimulant de la profondeur de la méchanceté humaine et de la nécessité d’une réflexion historique continue. La zone d’intérêt se distingue comme une montre robuste mais mémorable en raison de ses performances engagées et de son excellence technique. Le film nous invite à revisiter un moment historique important et pose des questions critiques sur la responsabilité humaine. La zone d’intérêt Agissant – 8,5/10 Cinématographie/Effets visuels – 9/10 Intrigue/Scénario – 8/10 Cadre/Thème – 8/10 Observabilité – 8/10 Re-regardabilité – 6,5/10

2 March 2024 / 0 Comments
read more
Royal Elementor Kit Theme by WP Royal.